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Bac test 180L filtreurs - Denisio


Denisio

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Bonjour Cap Récifalien(e)s

 

Voilà plus d'un an que j'ai arrêté mon 1000 litres. Comme je l'ai déjà expliqué : arrêté pour repartir sur autre chose. Quand, comment ? Ce sont des questions encore sans réponse. Par contre le Quoi se précise : d'un bac qui se serait bien défini comme "azooxanthellés", la sagesse m'oriente plutôt vers un bac à forte connotation filtreurs. Forte connotation... par ce que je ne peux, sous la pression de l'autre partie du couple, ne pas envisager des symbiotiques avides de lumière. Les zooxanthellés représenteront la petite connotation, occupant la partie supérieure de la cuve. Le reste étant occupé par des animaux filtreurs divers et variés, en général non symbiotiques dont les coraux ne constitueront qu'une partie.

 

Je dis ça, mais que sera l'avenir ? Peut-être rien de tout cela. Être ou ne pas être ? Mais pour que cela ait le maximum de chance d'être, je m'expérimente avec nombre de ces espèces que je ne connais pas bien. Ca a commencé avec un 70 litres, objet du topique Bac 70L test azoox, Denisio, que j'ai conduit durant un an. Fort de mon (in)expérience, j'en suis arrivé à un second bac expérimental de 180 litres dont il est question ici.

 

Quel est le chemin parcouru, techniquement, depuis le précédent petit bac ?

 

- L'essentiel est que celui-ci n'est plus connecté au 1000L, arrêté depuis. Finis les gros changements d'eau avec la connexion au 1000 L pour résorber la pollution alimentaire. Certes, j'ai toujours l'écumeur Lio51 (en principe) surdimensionné. mais l'expérience montre qu'il ne résout pas grand chose en terme de PO4. La seule action efficace a été d'adopter la méthode Vodka avec une composition adaptée à ma situation dans laquelle j'ai légèrement augmenté le ratio de sucre. Le fait est que, lorsque j'alimente ce bac et que j'oublie de lancer les pompes doseuses (si, si, je suis spécialiste), alors les PO4 montent en flèche à 0,25  0,30 mg/l. Quand le système fonctionne comme prévu, avec injection de sources de carbone, les PO4 se stabilisent vite à 0,03 - 0,05 mg/l. Voilà ou je voulais en venir : déconnecté du 1000L, j'arrive à une situation maitrisée qui me laisse apparemment  quelques espoirs.

 

- L'autre avancée est la fiabilité du système de nourrissage que j'ai décrit dans le topique Distribution automatique de nourritures liquides. Pas grand chose à dire de plus là dessus.

 

Quel est le chemin parcouru dans la maintenance des animaux.

 

Bien évidemment, comme je découvre et j'apprends, les écueils ne manquent pas. Je constate des pertes, quelques réussites à confirmer dans la durée mais surtout j'observe une amélioration du comportement général. J'attribue cette moins mauvaise maintenance aux deux facteurs ci-dessus associés au fait que j'ai fait un peu mieux le tour des aliments divers et variés disponibles dans le commerce. Ah oui, par ce que comme je ne l'ai pas redit ici : je souhaite distribuer une nourriture de manière régulière, quelle que soit la durée de mes absences. Régulière, cela exclue le vivant (quoique j'ai un petit projet à l'étude) et donc la nourriture est basée sur du lyophilisé et/ou du congelé.

 

Le bac à ce jour :

180L-1b.jpg

 

Quelques notes sur les animaux

 

Acanthorgia : une de ces deux gorgones est là, à cause d'un descriptif trompeur du commerçant, et l'autre à cause d'une faute de frappe à la commande. Bref, deux spécimens que je ne voulais pas, pour en avoir déjà testé deux sans succès. Deux spécimens voués à une mort certaine. A mon grand étonnement, dans la configuration de ce bac, elles ne dépérissent pas aussi vite que les précédentes. Elles déploient encore plutôt bien leurs polypes après 2 mois, mais le début de nécroses à l'extrémité des certaines branches ne trompe pas... je ne les tiendrai pas longtemps.

 

Nephtyigorgia  : ce spécimen a été acquis il y a maintenant 5 ans. D'abord dans le 1000 litres, il vit sa vie sans grande croissance mais avec les polypes plus développés que jamais, de jour comme de nuit, presque à chaque distribution de nourriture (sauf sur cette photo). Ce spécimen mange phyto et zooplanctons fins.

 

Scleronephthya : on voit ici le peu qu'il reste d'une superbe colonie acquise il y a 5 mois. Contrairement à mes attentes, elle a dégénéré plus vite que prévu. Une première tentative me laissait penser que ce genre restait dans le domaine du possible. Après donc 4 mois de régression, sans ouverture de polypes, je constate depuis peu les polypes qui s'ouvrent de nouveau, de plus en plus nombreux, de jour comme de nuit. Et je n'ose pas y croire... peut-être une croissance. Ce genre se nourrit de phyto, c'est sûr, mais je n'ai pas de certitude sur le zoo.

 

Himerometra robustipinna : j'apprends beaucoup des comatules ; celle-ci, arrivée en très bonne forme, réagit bien à chaque distribution de nourritures, notamment de zooplancton moyen lyophilisé ou congelé. Le vrai problème est qu'elle s'automutile petit à petit le bout des bras. De 2 à 3 millimètres chaque semaine, les statistiques ne sont pas bonnes, d'autant plus que je ne perçois pas de trace de régénération. Nourriture inadaptée, pas assez de nourriture... ce n'est pas gagné !
Je ne pourrai pas dire grand chose d'une seconde comatule Comaster schlegelii (noire) laquelle s'est automutilée à la naissance des bras et morte en moins de 2 semaines. Je n'ai jamais compris ses besoins, toujours en vadrouille à la lumière, à l'ombre, en plein courant, ou pas... même à côté de sa consœur, elle a continué à régresser très vite.

 

Menella violette : acquise il y a 5 mois, bien que je n'observe pas de croissance, cette gorgone ouvre régulièrement ses polypes et semble plutôt intéressée par le phytoplancton fin.

 

Dendronephthya : peu de chose à dire sur les deux spécimens acquis trop récemment, il y a 2 mois. Contrairement à deux autres tentatives ou je voyais les individus s'allonger, signe d'une régression, ceux là se gonflent régulièrement et réagissent bien aux distributions de phyto plancton fin (peut-être aussi zoo). L'un se gonfle plutôt à la tombée du jour, l'autre plus facilement la journée. A suivre...

 

Lima scabra ou plutôt Ctenoïdes scaber : après une première tentative échouée, ce second bivalve a eu beaucoup de mal à trouver une place. Il n'aime pas la lumière directe, ni le courant trop fort. J'ai assemblé une pierre constituée de failles verticales. Après l'avoir introduit dans l'une d'elle, il n'a plus jamais bougé.  Je ne me fais aujourd'hui pas trop de souci sur sa maintenance. Pour lui : œuf de homard, cyclops et rotifères congelés, phyto et zoo plancton lyophilisé.

 

J'ai fait l'acquisition d'un autre bivalve dont le nom ne me revient plus à l'instant ; appelons-le Coquille Saint Jacques tropicale (si quelqu'un peu me rafraichir la mémoire ;) ). Pas de souci non-plus pour cette espèce de sable qui vivait déjà depuis quelques semaine chez le commerçant.

 

Tubastrea : le spécimen 2 est arrivé il y a 6 mois, assez desquamé entre les corallite ;  il ne cesse de s'épanouir à chaque distribution de nourriture. Il me semble que les tissus se reforment timidement et que de nouvelles têtes apparaissent. Le spécimen 1, arrivé plus récemment il y a  2 mois, en bonne forme mais je n'ai toujours pas obtenu de franche ouverture de polypes. Bon, ce n'est pas un filtreur mais suspensivore, il profite de la manne de nutriments en suspension. Dans la nourriture automatique, je rajoute pour eux des particules plus grossières comme le ReefPerl et accessoirement des distributions manuelles d'artémies dans le courant, c'est à dire non ciblées à la pipette. Durant les 3 heures de déconnection de la cuve technique, ils ont le temps de capter la nourriture.

 

Divers : il n'y a donc pas que des filtreurs ; des espèces azooxanthellées qui profitent de la situation ; les détritivores s'imposent aussi : crustacés, échinodermes, mollusques et malheureusement, distribution de planctons oblige... des Aiptasia en quantité. Le plancton fait aussi l'affaire des mini ophiures, tous bras déployés, et d'une microfaune bien présente.

 

Voilà, c'est une photographie de l'instant. J'avoue qu'après quelques déconvenues, j'entrevois des signes encourageants depuis peu. Il était temps ! Tout juste de quoi entretenir la flamme.

 

C'est un peu aussi pour mettre la pression à Acanthu82 qui va surveiller ce bac durant ma prochaine absence d'un mois ;)

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Une fois encore: "Quel T.R.A.V.A.I.L !"

 

Merci de nous faire partager de manière si détaillée tes connaissances, ton expérience, tes découvertes...

 

J'avoue que tes Topiques m'impressionnent, on dirait des articles...

 

"Tout juste de quoi entretenir la flamme": 

Personnellement, je trouve que c'est plutôt un feu de joie.

 

Bonne continuation!

 

 

PS: Pour Acanthu82: Que la force soit avec toi!!! ;)  

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"Tout juste de quoi entretenir la flamme": 

Personnellement, je trouve que c'est plutôt un feu de joie.

 

Oulàààà ne nous embrasons pas. J'ai appris de puis un moment qu'il ne faut pas s'emballer, faute de s'embrasser. Je me contente aujourd'hui de la lueur de l'allumette, si je ne veux pas me brûler par un retour de flamme qui aurait tôt fait d'éteindre le reste d'incandescence.

Le récifal nous rend prudent ;)

 

Si la descente aux enfers ne laisse aucun doute, c'est plus difficile de percevoir une amélioration avec ces animaux. Les observations, à la loupe, au microscope qui ont occupé mes longues soirées d'hiver ne me permettent pas, le printemps revenu, d'être plus à l'aise. Je vois des choses, des améliorations, mais aucune certitude. C'est pourquoi j'hésite à communiquer sur ce bac.

 

Je pourrais parler d'une Fromia désintégrée, des micro colichurus disparus peut-être lors d'un siphonage, d'un tubicole sédentaire qui a voulu vivre sa vie je ne sais où, de la Comaster que j'ai vu tristement s'auto-mutiler, de Paraplexaura, Cavernularia obesa , du Neospongodes ou du Cirripathes qui ne sont plus, ou bien des éponges désintégrées... Autant de pétards mouillés. Alors, le feu d'artifice...

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Belle approche, Compère ;)

Concernant les "symbiotiques avides de lumière" que t'imposera "l'autre partie du couple" (c'est une honte, une pétition s'impose !), certains Acropora de fond sont non seulement "pas fatigants à regarder", auraient besoin d'une lumière moins vive que leurs collègues de platiers et surtout pourraient certainement tirer un bon parti de l'alimentation des azooxs ?!

Ta "coquille Saint Jacques tropicale" ne serait-elle pas un Spondylus ?

Concernant les inévitables Aiptasia, je suppose que les crevettes qui en sont prédatrices (en théorie) seraient inefficaces au regard de l'abondance de nourriture distribuée dans le bac. Par ailleurs, pas sûr que les azooxs apprécieraient sur le long terme d'être en permanence chatouillés par des Lysmata venant leur voler le pain des polypes ?!

Par contre, des nudibranches Berghia verrucicornis ou leurs cousins méditerranéens dont tu nous avais déjà parlé seraient probablement de bons auxiliaires sur le moyen terme ?

Mais je suis surpris que tu n'accueilles pas plus de tuniciers dont la maintenance ne semble pas trop problématique dans un bac dédié aux filtreurs ?!

Bien sûr, les habituels Polycarpa qu'on trouve désormais plus fréquemment à la vente mais aussi les superbes colonies de Clavelina, certes plus fragiles, mais parfois disponibles (ou sur demande) lors des arrivages des Philippines ;)

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C'est sûr Compère, le futur bac accueillera des coraux de fond, mes préférés, d'autant plus que je n'ai pas eu grand succès avec eux au moment ou mon 1000L commençait à péricliter. J'ai bien mis l'adresse de Loïc dans un coin de mon calepin :hihi  Mais ce sera pour plus tard.
 
La coquille... non, je connais bien les spondyles avec leurs protubérances, pour en avoir récolté dans ma jeunesse à la Martinique. C'est d'ailleurs un coquillage que j'aimerais bien introduire, ne serait-ce que pour me rajeunir. Le mien ressemble tout à fait à une Saint Jacques, mais en plus petit.
 
Sur les conseils d'Olivier, j'ai introduit des crevettes avec l'espoir que quelques pontes nourriront les animaux. Les L. amboinensis ne sont malheureusement pas sociables, elle n'acceptent pas la moindre L wurdemanni, qui ne tient pas 2 jours. Je n'ai pas perdu l'idée de repartir à la recherche des fameux Spurilla neapolitana si efficaces contre les Aiptasia. Je vais attendre que l'eau se réchauffe un peu pour squatter chez Olivier26. La quête est longue, incertaine et nécessite une bonne auberge locale.
 
Les tuniciers font partie de la liste. Une liste déposée chez le fournisseur local. Je m'attendais à obtenir rapidement quelque Polycarpa aurata, mais les incertitudes des approvisionnements en on décidé autrement. C'est bien là une des difficultés avec des animaux peu achetés : ils sont plus difficile à obtenir. Quelques mésaventures ne m'incitent pas à commander par correspondances ; les animaux n'ont bien souvent pas la santé pour supporter un voyage ou une acclimatation. Je suis bien entendu preneur de tous types de tuniciers, d'éponges, de bivalves et autres suspensivores. Je ne placerais pourtant pas les tuniciers (sauf ceux qui prolifèrent parfois dans les cuves techniques) au rang des animaux sans problème. Je n'ai jamais su garder les Polycarpa. Il est vrai que ce petit bac offre plus de possibilités.
 
Concernant ce bac de test, je n'ai pas voulu mettre du sable. Il y a seulement un récipient avec un peu de sable pour les vers tubicoles. En effet, je souhaite y privilégier la remise en suspension de la nourriture. Le sable du précédent bac s'avérait aussi plus problématique que bénéfique. Pour autant, je sui convaincu que le sable, contribuant à l'équilibre biologique d'un bac, il devrait faciliter la maintenance de certaines espèces. Le bac en projet aura bien évidemment du sable et probablement une zone à forte épaisseur, ne serait-ce que pour les vers tubicoles ou les pennatules.

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Sur les conseils d'Olivier, j'ai introduit des crevettes avec l'espoir que quelques pontes nourriront les animaux. Les L. amboinensis ne sont malheureusement pas sociables, elle n'acceptent pas la moindre L wurdemanni, qui ne tient pas 2 jours. Je n'ai pas perdu l'idée de repartir à la recherche des fameux Spurilla neapolitana si efficaces contre les Aiptasia. Je vais attendre que l'eau se réchauffe un peu pour squatter chez Olivier26. La quête est longue, incertaine et nécessite une bonne auberge locale.

 

 

Ah mince, j'ai dit ça moi !!!! :) :) :)

Il y a la solution Nauplii d'artémia aussi...

Je vais commencer à faire des locations en demi pension si cela continu... ;):$

Selon la date, il y aura aussi des produits locaux (champignons...) :-[:disco

 

Alors à Bientôt,

 

olivier

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Merci Denisio pour cette mise au point, ce retour d'expérience mêlant sagacité et connaissances.

 

Et quel challenge de vouloir conserver  des non symbiotiques quand on connaît leurs exigences, une nourriture diversifiée permanente.

Un réacteur à plancton peut-être?

Certains coraux non symbiotiques sont magnifiques tel que

Scleronepthya,Acanthogoria, Dendronephtya rouge...

 

Quel travail!

Bonne continuation vous souhaitant le meilleur pour la suite.

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Oui Olivier, les nauplies... c'est ce à quoi je faisais allusion. Au retour de mon périple je me lance dans la fabrication du distributeur, maintenant que j'ai réuni les pièces. Je ferai un retour après essais.

 

Darwin, non pas de planctons vivants qui nécessitent une présence et une rigueur constante. Je m'en sens incapable. C'est un impératif que je m'impose : rien que je ne sois en mesure de conduire dans la durée. C'est ça ou je préfère arrêter.

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Darwin, non pas de planctons vivants qui nécessitent une présence et une rigueur constante. Je m'en sens incapable. C'est un impératif que je m'impose : rien que je ne sois en mesure de conduire dans la durée. C'est ça ou je préfère arrêter.

 

 Je comprends tout à fait ce point de vue, connaître ses limites est un signe de sagesse et permet une bonne adéquation avec soi-même. ;)

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"J'ai bien mis l'adresse de Loïc dans un coin de mon calepin  :hihi "                                                                                :sos 

 

"Mais ce sera pour plus tard."                                                                                                                           Ouf! :chaleur 

 

- Nestor! Commandez-moi sur le champ 12 kg d'acroporas de fond.

- Lesquels ? Le prix?

- M'en fou, Commandez ce qui ce fait de mieux sur le marché, un truc  à la mode, le dernier cri , je n'sais pas...

- J'ai vu qu'ils venaient de sortir un nouvel 'acro jacquel... ou carolin...machin  je n'sais plus  quoi.

- Mais faîtes vite! on n'sait jamais!

 

 

 

- Allez, ça va me détendre. :cafe 
 

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Superbe ce bac d'azoox, je me sens moins seul !

 

Si je peux me permettre, la gorgone violette n'est pas une Menella mais une Guaiagorgia ;)

 

J'aime beaucoup ta disposition, et la comatule me fascine énormément J'ai discuté avec une personne de youtube qui maintient des comatules depuis plus de 8 mois sur un système Dynamico, et les seules qui tiennent sont les jaunes, noires et vertes, les rouges dépérissent au bout de deux mois... 

 

Les Dendronephthya sont superbes, mais chez moi, malgré un nourrissage intensif et varié, ils meurent au bout de 6 mois au plus... Je ne sais pas si tu te rappels de mon énorme Dendronephthya rose, il vient de mourrir, hier... Décidément j'arrête les dendro pour le moment ! 

 

Pour les Acalycigorgia ou Anthogorgia (je suis incapable de faire la différence) j'en ai deux et je te souhaite bonne chance, ma première est façon "arbuste" et la deuxième est plutôt grand "arbre" comme la tienne, mais elle a du mal à s'ouvrir, cependant j'ai pu constater que sa chaire recouvre son tissus mort, je croise les doigts !

 

Enfin sclero j'observe la même chose, belle évolution au début, ensuite ils se ferment plusieurs mois, et ils ré-ouvrent quelques polypes timides après, je ne les comprends pas trop...

 

J'espère en tout cas que tu auras de bon résultats !

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Menella... c'est le nom d'achat. Qu'est ce qui te fais pencher pour une Guaigorgia ?

Attention, beaucoup de légendes de photos sur le net sont fausses et surtout, ne pas déterminer à partir de la couleur (dixit Phil Alderslade). Pour l'instant, à l'étranger, je ne peux pas consulter mes bouquins.

 

 

Acalycigorgia (encore très utilisé) est l'ancien nom d'Acanthogorgia.

http://www.cap-recifal.com/topic/4482-anthogorgia-sp-acanthogorgia-sp/

La difficulté est de distinguer Acanthogorgia d'Anthogorgia ; ça ne peut se faire qu'à l'observation des sclérites, avec des bonnes photos macros ou binoculaire, en différents endroits.

 

Pour les résultats, j'appréhende mon retour dans 3 semaines. D'autant plus que juste avant de partir, j'ai pu constater que le distributeur Digidoseur + agitateur se bloque très facilement avec les particules de nourritures si on ne suit pas un protocole strict de remise en route, pas facile à respecter et difficile à vérifier pour qui ne connaît pas les subtilités de l'engin.

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Denis ne te soucis tout va bien

Au fait, à ce sujet Acanthu 82, pour la fête que tu organises chez les Denisio samedi soir, sais-tu s'il leurs reste assez de vins et d'alcools dans leur cave pour accompagner le méchoui que nous ferons dans le jardin ?

Parce que nous sommes tout de même près d'une centaine... Sans même parler des deux groupes de heavy-metal qui assureront l'accompagnement musical avant le feu d'artifice géant, ces gens-là ont la réputation de bien lever le coude !

A samedi !

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Titi, j'aime bien le site Reeflex et j'y vais souvent voir ce qui est présenté. Mais ce n'est pas un site scientifique, il ne prétend pas l'être, et les identifications (d'ailleurs le site ne donne pas de clé d'identification) notamment concernant ce type d'Octocoralliaire ne sont pas à prendre à la lettre.

 

Je confirme, les Menella ne sont pas que jaunes.

 

De toutes façons, m'en fou : David va mixer chez moi :)

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Merci Stéphane. J'ai quand même l'impression que la comatule... n'est plus.

 

Oui, les Aiptasia sont une plaie. C'est un point sur lequel il me faudra être très attentif à la réalisation du futur bac. Pour celui - ci, la situation n'est pas encore désespérée et je n'ai pas encore tiré mes dernières cartouches.

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