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Jaycee

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Réputation sur la communauté

  1. Encore un emmerdeur Félicitations, c'est superbe
  2. Tout pousse, tout est coloré, les coraux s’entremêlent sans nécrose (c'est marrant chez moi dès qu'ils se touchent il y a un vainqueur et une nécrose !?) et tout cela sans ajout s'aucune sorte .... chapeau, c'est magnifique. Les couleurs sont à tomber, les pastels subtils, les rouges sanguins, les bleus fluo et ça pousse tellement que tout atteint la surface ............. mais dis nous tout .... le diable, il t'a offert combien pour ton âme Pour ton souci de changement d'eau, tu pourrais utiliser une méthode assez encombrante (car nécessitant deux gros récipients), le goutte à goutte permanent. En tout cas félicitations, tu es définitivement un emmerdeur
  3. J'ai déjà testé ce genre de support avec une jambe de renfort décalé mais en 60x40 (debout), mon support faisait 1,5 m et la jambe me permettait de conserver 1,10 m d'accès dégagé. Cela a parfaitement fonctionné, la traverse ne flambait que de 2 mm, ce qui est tout à fait dans la tolérance mécanique acceptable pour ce type de profilé. Je ne me suis même pas embêté à mettre des traverses longitudinales intermédiaires et la jambe de renfort arrière était au milieu.
  4. Tout d'abord, avec quoi mesures tu tes nitrates ? Je te pose la question car nous savons tous ici que le test JBL est difficilement interprétable, le red seau pro est un des rares qui permet une lecture précise. Ensuite 10 mg/l il n'y a pas mort d'homme ni de corail, et en s'intéressant au nourrissage, les quantités et la fréquence, il arrive souvent qu'on trouve la solution. Nous avons tous eu la main un peu lourde. 0,05 de Po4 au photomètre, cela veut dire qu'avec la tolérance de cet outil, tu peux être à 0,01 ou à 0,09 Dans le premier cas, c'est négligeable, dans le second, cela commence à faire beaucoup mais là encore, à moyen terme, pas de quoi causer une hécatombe. Les signes apparaîtraient probablement lentement en dégradant la santé de certaines colonies sans forcément provoquer de rtn. RAB ou pas RAB, il faut un certain équilibre dans la balance No3/Po4 comme dit précédemment, si tu manque d'une ressource nécessaire à la maintenance des bonnes bactéries, le cycle ratatouille. Il te serait facile "d'affamer" un peu ton bac pendant une paire de semaines et de voir l'évolution des polluants. Mais dans la période que tu traverses, il serait intéressant de commencer par régler ton souci de densité/salinité. Chaque chose en son temps. Tu pourras par la suite d'inquiéter de ramener les taux de nutriments dans le vert. On peut arrêter un RAB sans souci, si on respecte la même règle que pour un démarrage. On diminue la quantité de pellets sur deux ou trois semaines, puis on le coupe. Car tu ne sais pas s'il n'est tout de même pas opérationnel et un arrêt brutal pourrait générer un pic de Po4/No3. Tu pourrais tout aussi bien le laisser tourner, il ne participe probablement en rien à tes problèmes actuels mais si cela te rassure, tu peux l'arrêter progressivement.
  5. Comme tous les copains pourraient te l'expliquer, c'est au contraire un atout du RAB sur BP. La ressource de carbone est disponible en permanence sans se diluer et risquer de polluer le bac, c'est un avantage et non un problème. A l'inverse, avec un réacteur sur charbon, c'est toi qui juge de la quantité à apporter avec la possibilité de brider l'activité du RAB en sous-dosant mais le risque de polluer en ayant la main lourde. Quand tu dis "j'ai tenté les biopellets et c' est à partir de ce moment là que la machine s'est emballée", cela ne nous éclaire pas sur la ou les raisons de ce qu'on suppose avoir été un échec. Quel réacteur as tu utilisé ? Quelle taille ? quelle pompe ? Quelle type et quantité de pellets ? Comment l'as tu démarré ? Comment les paramètres ont ils évolué ? sur quelle période ? Et oui, tu vois, quelqu'un comme toi, en recherche d'info sur les RAB peut lire cette phrase et la prendre au pieds de la lettre pour en conclure une fois de plus sur le danger que représente ce type de réacteur. Comme toi j'ai lu, partout ou l'on parlait des réacteurs à bactéries, j'ai trouvé des histoires abracadabrantes, terribles sur les effets presque atomiques de ces engins et j'ai aussi écouté Alain (nitrobacter) pour finalement me ranger de son coté, le RAB un outil intéressant et utile mais pas une baguette magique. Loin de moi l'idée de te faire un reproche car il n'est pas toujours évident de faire la part des choses au risque de venir alimenter un flot d'informations contraire.
  6. Et voilà ! Parfait exemple de la méconnaissance du fonctionnement d'un RAB ........... et c'est un militaire qui gagne .... une tringle à rideau ! Plus sérieusement, on récapépète depuis le début. Les bactéries de notre RAB, quel que soit le support ou substrat (charbon/BP/sable), héberge des bactéries qui ont besoin de ressources pour vivre et/ou se développer, à savoir : - de l'oxygène - une ou plusieurs sources de carbone - des No3 (plutôt de Nh4/Nh3) - des Po4 La privation d'une de ces ressources mettra en sommeil puis en péril nos amies les bactéries. Dans un RAB sur pellets, la ressource de carbone est toujours disponible, mais la colonie se régule sa population en fonction de la quantité de ressource disponible. l'absence totale d'une ressource représente un facteur limitant. Dans un RAB sur charbon, ce charbon ne représente qu'un support de colonisation dépourvu de nutriment, il faut donc apporter du carbone (VSV/No3Po4x). l'apport doit être cohérent et en rapport avec le reste des nutriments. Apporter trop de carbone polluerait le bac, pas assez représenterait un facteur limitant. C'est le coté délicat de ce type de RAB, il faut y aller au jugé et mesurer très régulièrement les autres taux de nutriments (No3/Po4) pour vérifier la cohérence du ratio avec le carbone. Sans compter que certains charbons sont trop friables et vont produire une poussière qui peut se répandre partout si on ne la capture pas. D'autre charbons vont mieux résister à l'abrasion mais n'offriront pas forcément la même surface de colonisation. Bref, sans rentrer les détails, oui, un réacteur sur BP sera plus facile à démarrer et à maintenir pour peu qu'on y mette un peu de documentation, de réflexion et de méthode. Installer un RAB sur un bac ne présente aucun danger si on respecte certaines règles. Ne sachant pas quelle a été ta méthodologie, je te déconseille Mirage l'installation d'un RAB à moins de potasser les basiques de son fonctionnement. Faire des changements d'eau, renouveler les pierres, c'est laborieux mais c'est simple et si tu réduit les distribution de nourriture au strict nécessaire, cela devrait te permettre de rétablir la situation ..... pour un temps.
  7. Et bien voilà, on peut fermer le forum, tout est dit Comme tu y vas Snoopy, si on avait fait dont d'un euro au forum à chaque fois que les RAB ont été décriés, nous serions plus riches que la Française des jeux. Dans la même logique, bien sur qu'il est préférable de rester sur les fondamentaux, peu de poissons, beaucoup de corail, des pierres de qualité, un "bon" brassage, un "bon" éclairage, des changements d'eau avec .... un "bon" sel et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. C'est d'ailleurs "la" solution à la majorité des maux de nos bacs. Cela revient à s'exprimer dans un congrès médical en recommandant à tout le monde de rester en bonne santé Ce post tourne autour des réacteurs à bactéries, même si on peut regretter de ne pas prendre le temps d'examiner à chaque fois la légitimité d'un RAB, on peut difficilement renvoyer les requérants à leurs basiques, même si nous sommes d'accord qu'un RAB n'est pas la solution à tous les maux. Tous les outils que nous utilisons en récifal peuvent s'avérer néfastes s'ils sont mal utilisés et les réacteurs font probablement partie des plus dangereux, d'ou l'intérêt de bien connaître leurs différences, fonctionnement, avantages et limites. La plus grande qualité du RAB est probablement la remise en question totale de la gestion du bac qui précède son éventuelle mise en place. Son plus grand ennemi étant une grande méconnaissance de ses principes de fonctionnement par la plupart de ses détracteurs. Les réacteurs à bactéries sont des outils qui, s'ils sont pensés et installés judicieusement, permettent de traverser une période délicate et de sécuriser la maintenance d'un taux de nutriments bas convenant à nos bacs.
  8. Tout dépend du niveau d'activité du RAB, du volume et de la population du refuge. Un RAB qui a deux mois d’existence, installé suite à une montée des taux de nutriment va fonctionner a plein régime et risque d'évacuer beaucoup de bio-plancton. Pas sur qu'un refuge puisse digérer tout ça avec le risque de le voir envahi par du biofilm gélatineux. Un RAB qui fonctionne a une vitesse de croisière ne pèsera pas aussi lourd sur le biotope et il se peut qu'un refuge stabilisé, avec une micro-faune variée et dense puisse consommer une bonne partie du bio-plancton produit. Pour la quantité de charbon, de tête, elle se rapproche de celle des BP, 100 ml pour 100 l d'eau. Si c'est ton premier RAB, le charbon n'est pas la méthode la plus facile. Il te faut choisir le bon charbon (granulométrie/fragilité) et bien contrôler son évolution pour lui fournir la bonne quantité de nutriments qu'il faudra adapter au long cours.
  9. Il te suffit d'observer régulièrement ce trou et ses proches environs à la lumière rouge de nuit. C'est comme ça que j'ai découvert qu'un bébé de 60 cm de long me dégommait des boutures ...... la nuit.
  10. Pour la sonde Ph, j’ai trouvé ceci http://www.oceanstore.fr/epages/295366.sf/fr_FR/?ObjectPath=/Shops/295366/Products/OCSONDEPHINDUS C'est la sonde tunze, avec le même emballage, elle est en tout point identique à l'exception du logo, et c'est beaucoup moins cher. Je l'ai utilisé pendant deux ans avec satisfaction, les étalonnages se sont avérés quasi inutiles car ils ne faisaient que confirmer le bon état de la sonde. Pour l'ORP, j'ai utilisé la sonde fournie par Apex et l'ai étalonnée avec une solution aquamedic 240 mv. Les valeurs affichées dès le départ paraissaient plutôt cohérentes et le sont moins aujourd'hui deux ans après l'étalonnage initial. Le but était de gérer les injections d'ozone. Ce que je remarquais à l'époque, c'est que le redox augmentait constamment au fil des mois, même en réduisant les quantités d'o3 injectées. Cela m'a permis de constater les effets d'un filtre UV sur le même potentiel et de juger d'une "variation" sans jamais connaître la vrai valeur.
  11. Sur reef central, je me rappelle d'un post passionnant avec les détails de A à Z sur une longue période ..... impossible de retrouver le post Mais as tu vu ceci http://reefcentral.com/forums/showthread.php?t=1574694 ou cela https://www.youtube.com/channel/UCSw78qyTOI8U5beZmJkOG1A Des soirées entières à feuilleter des pages plus passionnantes les unes que les autres. C'est un beau projet en tous cas
  12. Pas de coupure d'électricité dans la nuit ? (montée du niveau d'eau)
  13. Je rassure tout de suite l'immense majorité des utilisateurs qui n'auront pas à ouvrir de port de communication, l'Apex utilise par défaut le port 80 qui est un port standard du web en http, il est déjà ouvert dans 99,99999999999 % des cas.
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