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Le futur bac à Bubule


Bubule
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Publié (modifié)

J'ai bien l'astuce de la pâte d'hydroxyde de Ca que j'utilise depuis toujours pour brûler les indésirables sessiles... C'est ce que j'utilise ici depuis quelques mois sur ces roches... lorsque je les vois, et qu'ils sont accessibles.

Dans le cas présent, les roches sont posées dans la cuve sans être empilées. Je les retourne de temps à autre pour vérifier qu'aucun indésirable ne s'y trouve. Je croyais en être arrivé à bout. La dernière photo montre que non. Et je ne suis pas à l'abri d'en laisser passer.

L'idée du Chelmon m'a traversé l'esprit, mais adieu tous les filtreurs. Une armée de L. wurdemanni me semble aujourd'hui la seule option. A 110€ les 5, j'ai intérêt à sortir le crabe qui en fera son casse-dalle...

Depuis 3 semaines, le réacteur turbinarium d'Armand est en place dans la cuve de roches (isolée du bac principal) et l'introduction de vodka génère une explosion de bactéries... et de petits animaux qui grouillent sur les vitres. Ils doivent mesurer environ 0.1 mm. Il y en a pas loin d'une centaine au cm². Je n'ai pas de loupe ou de microscope pour visualiser ce que c'est, mais le boost de bactéries semble profiter pleinement à cette faune qui explose comme je n'avais jamais vu.

Modifié par Bubule
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J'ai choisi pseudomonas comme "pseudo"

pour moi; les bactéries c'est la base de tout, Le cycle de l'azote, les réacteurs, filtres, dénitrateurs, ne sont que les supports des colonies. Beaucoup de formes de vies dépendent des bactéries en tous genres. 

Des concentrations de bactéries vivent en symbiose avec un hôte lui procurant des nourritures. En aquarium un bac très riche en bonnes bactéries assure une grande transparence a l'eau (douce et de mer). Ces bactéries serve également de nourritures aux organismes marins. 

Au pied des sources hydrothermales la vie passe par les bactéries extremophiles, les cyanos serais a l'origine de la "grande oxydation" (- 2,45 milliards années) du au dégagement d'oxygène dans l'atmosphère. Le vrai chemin aquariophile passe par le cycle de l'azote avec de grandes colonies de nitrobacter, nitrosomonas etc ...

Bactéries, phytoplanctons sont la base de la vie marine. Encore un peu de patience et les résultats serons positifs. 

Armand 

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J'ai retrouvé ; l'électrolyse entre l'eau de mer et une pièce métal.

Les bateaux de pêche en métal portent des anodes sacrificielles qui vont elles perdre de la matière et non la coque en acier qui pourrais corroder. Une réglementation est d'usage et obligatoire pour la mise a quai. 

En clair, j'ai souvent pensé que si j'utilise un métal et un branchement mal adapté cela pourrais peut être "dissoudre" le métal et disperser dans l'eau du bac des éléments non souhaitables. 

Je n'ai donc pas fait de liaison entre l'eau du bac et la mise a la terre du tableau électrique, dans cette ignorance je m'abstient. Je pense qu'une vis en titane (c'est conducteur) liée a une tresse en inox de qualité et relié au tableau électrique sur le branchement de mise a la terre peut être possible. Question sécurité les disjoncteurs sont en 30mA donc très sensible en cas de fuite électrique. 

Un sujet qui m'intéresse et m'inquiète ; entre la sécurité de mise a la terre et un risque de dissolution du métal du a une électrolyse. Je n'est pas de bonnes connaissance sur ce sujet. 

Armand

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Salut Franck 

Je résume ; ton nouveau bac d'il y a longtemps (dans les vieux pots, les meilleurs...) 

200 cm X 75 cm X 60 cm = 900 litres = 1,5 m2 divisé en 3 parties = 0,5 m2 par section

A gauche les sps, a droite les lps, au centre la fosse. Si on se base sur la dimension d'une section, celle des sps, ce serais 65 cm sur la longueur et 75 cm sur la largeur, la hauteur : Undefined ! Cela pour estimer la mesure possible pour placer les pièces de corail, histoire d'avoir un "plan" et d'y voir un peut clair. 

Dans mon illusion proche d'une Parallel Reality, il faudrait placer dans la mesure du possible, les pièces de durs, il y en a des branchus (vers le haut) et d'autres branchus (acro) en forme de tables (effet magique). Entre ces coraux, tu peut placer des pièces rondes (pocillo, stylo), des branchus (acro, monti digita). Il faut également tenir compte des couleurs des pièces et de l'éclairage prévu (puissant) a cet endroit. 

En clair; je pourrais faire un dessin (enfantin crayons couleurs), mais c'est ton choix qui doit primer. J'ai retrouvé une photo en ballade "la vie en bleu". 

Permet moi de rêver ; Sweet Dreams 

Armand 

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C’est une bonne idée de visualiser les positionnements avant leur implantation. Même si celle-ci est plus ou moins modifiable dans le temps et la vie du bac.

Dans mon esprit, j’avais privilégié la disposition des animaux en fonction du brassage. L’éclairage étant uniformément réparti sur la longueur du bac par les modules Radiométrix, il n’est pas déterminant dans le positionnement des animaux. Seule la hauteur joue un rôle. 

L’arrivée d’eau est à gauche, elle apporte déjà un premier flux vertical descendant (peut-être à réorienter, mais ce serait une perte de charge énergivore que je préférerais éviter).

A l’opposé, côté droit, la surverse. J’imagine un flux plus léger de ce côté pour aider à la sortie du film de surface, et si possible des sédiments dont la première cuve du bas est en charge.

Je dispose de deux Gyre 350 en brassage principal. Chaque Gyre dispose de deux rotors avec casquettes directives orientables indépendamment. Les flux sont actuellement orientés différemment.

Un des rotors de la Gyre de droite, côté surverse, souffle vers le bas pour créer un flux de décollement des sédiments sous et hors de la masse rocheuse de droite, tandis que le second rotor est orienté vers la surface pour générer des remous.

Cette masse rocheuse devrait recevoir les LPS moins gourmands en brassage. Principalement la masse d’Euphyllia qui se trouve actuellement dans le 450 litres.

Coté gauche, les deux rotors sont orientés, l’un vers le centre, l’autre vers la surface.

Ces deux Gyre sont pilotées en mode semi aléatoire par le contrôleur. Cela crée des flux et brassages variables. Je compléterai ce brassage par une pompe Tunze 6105.eco (13 000l/h) dont le positionnement reste à tester.

Les SPS seront donc normalement côté gauche, dans la zone la plus brassée. De ce côté, il manque des roches pour augmenter la hauteur du surplomb/platier. Les roches sont toujours en cours de stabulation dans une cuve séparée. J’imagine conserver la fondation de base avec son plateau en avancée, et empiler quelques roches vers l’arrière, adossées à la vitre du fond. Cela devrait laisser pas mal de place aux SPS en tous genres.

Je n’ai pas d’idée pour la zone centrale, mais comme la nature a horreur du vide…

Voilà l'idée générale.

Modifié par Bubule
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Chronologie 

On posait les roches vivantes sur des "plots en verre", le but était de favoriser la circulation d'eau et de balayer les sédiments (années 90). 

Un montage a l'aide de tubes pvc et coudes + té permettais de poser les roches sans toucher le sol, un brassage en fond évitait les dépôts de sédiments (années 2000).

Un montage "mixte" tubes pvc + grilles optiques permettais de surélever les roches sans une grande quantité et de laisser la vitre arrière libre au passage des poipois (années 2010). 

En clair ; un module pvc et grilles solide et préparé qui permet un platier. Lorsque les coraux sont trop grands (2/3 ans), le module est retiré du bac, le décor est réagencé. 

On a vu des décors (photo) réalisés ainsi dans de grands bacs d'aquarium public, un effet de murs et de plateaux sans une quantité de roches lourdes. 

Des idées qui germes, la difficulté est l'âge et les pathologies. Avec patience et méthode, faire un module a glisser dans un bac en eau n'est pas très difficile. 

Je mijote, ça ne s'arrange pas .....

Armand 

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Voila l'idée 

un châssis en tubes pvc de 20 de D avec des coudes et des tés a environ 40 cm du fond. 

la largeur de la grille optique noire est de 60 cm X 60 cm a définir. 

En temps voulu, le châssis se retire sans problème, il faut tout de même retirer les pierres et les coraux posés dessus. 

Photos d'un montage en janvier 2005 et plateau retiré en aout 2006, un croquis (enfantin) d'un support provisoire pour les coraux sps, il pourra être retiré dans le temps. 

Sur le bac de 3m j'ai fait 3 supports a 2 étages, les traverses ne permettant pas de glisser une pièce de 2,40 m de long. Avec la pousse des corallines, des coraux rien n'est visible. 

Une maladie mentale avec des soins intensifs je surnage dans les planaires.

Armand 

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L’idée du support tubulaire ne m’enchante pas vraiment. Même si cela fini par se cacher, ce n’est pas du tout le style de décor que j’ai envie d’avoir dans le salon pendant des années. Surtout que la cuve est visible de deux cotés ½ (face et gauche. Et plus sommairement à droite).

Le but d’une telle ossature, outre le fait de permettre une visualisation plus ‘verticale’ des animaux, est bien de permettre une circulation importante de la masse liquide, nourricière et (auto)nettoyante.

Je suis conscient que c’est un moyen supplémentaire d’éviter le dépôt de sédiments sous les roches. Mais avec ou sans sable (je prévoie sans), il serait tout de même encore difficile d’atteindre l’arrière du décor sans démontage.

Je ne suis pas un adepte du démontage fréquent du décor. En plus de vingt ans, j'ai du bousculer le 450 litres à 2 ou 3 reprises (déménagement, réfection des joins de la vitre avant, ? mes gouttes...). Je ne peux pas dire que le volume de sédiments relevé à chaque chambardement était excessif, malgré un empilage des roches façon années 90, avec 20% de PV. Et je ne m'imagine pas sortir une plaque de 60 x 60 de la cuve. C'est déjà trop pour moi.

Dans le cas présent, où j’envisage une ossature épurée, à peine plus importante que ce qui est déjà en place, le volume et le positionnement des coraux sera encore plus simple que dans mon vieux 450 l. J'espère leur maintenance également. Le reste des roches, ce qui représente à peu de choses près l’autre moitié des masses épuratrices du circuit, se verra positionné dans les cuves du sous-sol. Refuges supplémentaires inaccessibles aux prédateurs à nageoires.

Je suis assez serein, car il semble que l’orientation actuelle des flux de pompes arrive à déloger les sédiments de sous les roches, et cela malgré une puissance des pompes de brassage limitée à 50%, et l'absence de la 13 000 litres actuellement dans le bac de stabulation. L’absence de sable permet cela. L'avenir le dira...

 

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Pour compréhension ; 

Je regarde la photo du 450L et je vois de grandes pièces. Tu va reproduire le même décor, je comprend le choix.

J'avais besoin d'imaginer la place que tu dispose, les pièces qui sont en attente ont une taille et il faudra que l'on décide de ce qui va bien ou pas. Une liste des coraux vas venir. J'ai un impératif de sortir du corail qui m'encombre, les boutures tombes ou se touchent. 

Un décor en "chandelier" a la mode ne peut accueillir beaucoup de pièces. Mais ton choix est souverain !

Armand 

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Histoire de RAH a agitateur 

Tu peut allé sur "ICECAP réactor", la tu verras un bon gros amérlock qui occupe l'écran et déblatère sans fin.

Le petit modèle 300$, le grand 450$ + frais via USA et peut être frais douanes. C'est magique, grâce a cela votre bac sera le plus beau du monde. 

Pour la chose intéressante  du modèle est le turbulant. Celui-ci est équipé de deux bagues en silicone qui évite le frottement avec le fond. On peut faire une bague avec du tuyau silicone, ou mettre des joints toriques pour ce faire. Le reste est bateau, a voir si le plexy est solide. 

Personne ne vas acheter cette "chose" qui peut arriver en pièces cassées.

Just for you , un appareil sans bubulles d'air. 

Armand 

 

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J’avais initialement prévu de confier la supplémentation aux solutions Balling. Principe que j’utilise depuis de nombreuses années maintenant. Bien qu’elle ait fait ses preuves dans le maintien des paramètres essentiels (Ca/Kh/Mg), je dois avouer que continuer ainsi ne m’enchantait guère.

En 20 ans, la liste d’ennuis que j’ai rencontrée sur le 450 litres est assez longue (tube de pompe doseuse HS, tête et galets HS, moteur HS, tuyau bouché, alimentation HS, transistor de sortie module de commande HS, pétage de plomb du module de commande qui envoie toute la cuve en une seule fois. J’ai aujourd’hui un stock de pièces de rechange pour pallier la prochaine panne…).

Le volume de solutions consommé est proche de 5 litres par mois de chaque solution. Soit 15 litres à préparer.  C’est-à-dire peser et secouer tous les mois. Anticiper la préparation de 2 ou 3 jours pour permettre une dissolution complète des poudres dans l’eau osmosée à température ambiante (du sous-sol). Remonter à l’étage les 3 bidons de 5 litres, pour les transvider dans les cuves de stockage en verre glissées sous le meuble. Nettoyages à l’acide chloridrique 1 fois/an.

Bref, doubler le volume avec ce nouveau bac nécessitait de repenser la méthode de supplémentation. Bien entendu, il n’est plus question de monter/descendre les bidons, puisque la zone technique est maintenant en bas. Mais avec 20 à 30 litres à secouer par mois, et mes problèmes de dos. Bof…

La récente baisse brutale du Ca sur le 450 litres (225mg/l) malgré un KH stratosphérisé à 13, et dont je n’ai pas la cause, m’a fait préparer en urgence une bouteille minérale et l’hydroxyde de calcium du placard. Ressortir l’hydroxyde et jouer avec l’eau de chaux m’a rappelé mes premiers souvenirs de supplémentation : Remplir à ras bord une bouteille d’eau minérale dans laquelle on a préalablement introduit une ou deux cuillères à soupe de poudre. L’agiter, puis la percer d’une pointe d’épingle à quelques centimètres du fond, et laisser le filet d’eau de chaux créer un nuage dans l’eau de la décante m’a fait réfléchir.

J’ai relu les diverses publications de Régis et d’Olivier, et plus récemment celle d’Armand. En fait c’est basique (sans jeu de mots) et efficace. Pour commencer, ce sera bien suffisant. J’aviserai plus tard s’il faut adjoindre d’autres composants tels un RAC (pour le Co² lorsque la consommation devient trop importante), ou une supplémentation d’oligos. D’ici là, il est probable que plusieurs mois ou années se soient écoulées.

 

Je me suis donc mis à la recherche d’un nouveau RAH avec un agitateur puissant. Il n’était pas question de ressortir mon vieux truc bricolé de l’époque, ni envie d’en reconstruire un.

J’ai rapidement trouvé l’objet recherché. Un Aquavie RH 2000 presque neuf d’une contenance d’environ 10 litres, avec un agitateur de qualité (Hanna 300).

L’outil semble neuf (pas de trace d’hydroxyde).

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Le point faible de ce type d’équipement reste la zone de frottement du barreau, capable de creuser le fond de la cuve. Sur ce modèle, le fond, zone de frottement du barreau tournant, est doté d’un insert surmoulé en téflon.  Un matériau thermoplastique à faible coefficient de frottement. Cà devrait améliorer le fonctionnement et réduire l’usure. Et puis dans le cas où je constate la moindre usure, j’y collerai un morceau de verre de faible épaisseur au fond.

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Me reste à trouver une pompe doseuse renforcée pour l’utilisation intensive. Les IKS vario ont bonne presse. Je cherche…

Ensuite viendra le pilotage de ces deux éléments. Moi qui voulais à tout prix éviter l’électronique… Je crois qu’il me faudra y faire entorse.

Dans un premier temps, au minimum deux horloges. Une pour lancer la pompe doseuse, une autre pour lancer les agitations (mais je crains que pour cela, les temps mini d’agitations seront déjà trop longs, ce qui m’obligera de passer par un relais temporisé. Et du coup, module Shelly-Uni + relais électromécanique comme pour l’osmolation (qui elle fonctionne sans module de commande. Juste des sondes capacitives + relais). Pas de pH-mètre pour le moment.

Si je dois y passer, ce sera de ma conception. Mais pour les premiers mois ou années de maintenance, cela devrait suffire.

  

Modifié par Bubule
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Je me suis acheté il y a quelques mois un agitateur magnétique sur Amazon pour la préparation des solutions Balling : plus rapide, solutions beaucoup plus homogènes, et surtout plus de secouages de bidons. Dans un grand bécher (récupéré en laboratoire) je prépare 5L de solution d'un coup en 2 minutes et sans avoir à sortir les biceps. Bref ça facilite grandement la vie.

Pour tes recherches j'ai une IKS vario qui traîne dans mon foutoir de matériel "qui peut servir". Elle n'a pas servi depuis au moins 5 ans et je ne m'en vois pas l'utilité dans le futur... Je peux te la faire suivre pour essai si tu veux.

 

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Il y a 15 heures, Péhell a dit :

Pour tes recherches j'ai une IKS vario qui traîne dans mon foutoir de matériel "qui peut servir". Elle n'a pas servi depuis au moins 5 ans et je ne m'en vois pas l'utilité dans le futur... Je peux te la faire suivre pour essai si tu veux

Ouaouhhh :%%)

Merci Pilou Péhell !

Suite en MP ;)

 

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Kalkwasseur 

J'ai pratiqué de 2001 a 2003 la compensation d'évaporation avec l'eau de chaux. C'est bon de distribuer a des heures ou la baisse de ph est au plus bas. J'avais un phmètre simple (sera), je pouvais constater les heures de nuit le niveau ph. Je distribuait selon ces observations. Ce sont des centaines d'heures d'observation et d'amélioration qui aboutissent a une pratique qui fonctionne bien. 

Les avantage de l'hydroxyde sont ; un apport de très bonne qualité en calcium assimilable, une diminution de l'acide carbonique, une diminution de la pousse des algues et diatomées, une précipitation des PO4, et une meilleure stabilité du ph de nuit.

Les inconvénients sont ; un récipient étanche a l'air (CO2) obligatoire, une solution a ph 12,7 a maitriser, un dosage précis qui correspond aux besoins du bac, un risque de précipitations calcaires. Un fait important est que l'emploi du produit est abstrait et difficile a assimiler. 

La compréhension du bon emploi de l'hydroxyde est difficile a acquérir, avec du temps, de la patience, des essais, on peut arriver a "maitriser" la façon de procéder et la bonne méthode. 

plus vieux que vieux je me suis fait ! Armand 

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  • 2 semaines plus tard...

Nouvelles avancées.

Les algues inférieures ont changé de couleurs. La couche de sédiments collée sur la vitre de fond par les premières algues a été siphonnée au premier changement d’eau.

Les taux de Po4 et No3 sont maintenant mesurés à 0.00.  Il est temps de commencer à introduire quelques pollueurs si je ne veux pas favoriser la croissance des cyanos. On en remarque d’ailleurs sur les roches sèches que j’avais recyclées. Pas de doute sur la présence de Po4 dans celles-ci, mais elles ne diffusent visiblement pas au regard du 0 pointé de Po4 dans l’eau du circuit.

Les deux poissons en acclimatation depuis 6 mois dans le bac de stabulation des roches ont fait le grand plongeon cette semaine dans leur nouvelle demeure.

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PS @Emmanuel :  La plaque de polystyrène sera bientôt cachée par un bandeau de finition en inox… actuellement en cours de finition :tapechaise.

Maintenant que les 2 poissons ont quitté le bac de stabulation, je songeais augmenter l’apport de vodka pour accélérer la stabulation des roches, mais hier soir les mesures ont affiché un taux de Po4 à 0.00. Quant aux No3, ceux-ci sont à environ 12 ppm. Le réacteur de et à pseudomonas fonctionne à merveille :prosterne

Je pense raisonnable de maintenir les 8 ml/100L/Jour de vodka encore quelques jours ou semaines. Je vais par contre arrêter le FLF rempli de résine ferrique. Je pense qu’il joue maintenant plutôt le rôle de support à bactéries.

Il n’y a plus de poisson dans ce bac. Je pourrais aussi être curieux et couper la vodka afin de vérifier si le taux de Po4 remonte ou pas... Patience Bubule !

Je m’applique encore à vérifier l’absence d'Aiptasia. J’en ai encore trouvé une petite la semaine dernière, juste à côté d’une plaque d’hydroxyde. Celle engluée en dessous avait déjà dû semer sa progéniture.  Elle a rejoint sa maman sous une nouvelle couche d’hydroxyde…

A défaut de pouvoir transférer quelques roches du bac de stabulation dans la cuve du salon, J’envisage maintenant de transférer quelques coraux du vieux bac dans celui-ci. Ce qui me freine c’est l’éclairage. Le bac ne dispose actuellement que de 3 rails Radiometrix. Les rails d'éclairage de l’ancien bac sont toujours nécessaires aux coraux de l’ancien bac. Alors il est probable que j’avance par zone pour contourner ce problème, ou que je transfère les premiers animaux dont les besoins en éclairage sont les plus faibles.

 

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il y a une heure, Bubule a dit :

PS @Emmanuel :  La plaque de polystyrène sera bientôt cachée par un bandeau de finition en inox… actuellement en cours de finition :tapechaise.

Ah... Tu as arrêté le tadelakt ?? 🤭

il y a une heure, Bubule a dit :

Alors il est probable que j’avance par zone pour contourner ce problème

Je pense que ce serait une bonne solution : cela te permettrait d'affiner ton décor et la mise en place des coraux 😉

En tous cas c'est très chouette une nouvelle mise en route, cela ne court plus les rues ni les forums ces temps-ci !

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Dans le cas de Bubule : (pour rappel) ce sont des roches anciennes gorgées de no3 et po4. Le calcaire est microporeux et absorbe les déchets.

Dans un RAC, il ne faut jamais mettre du corail qui est saturé de po4, un relargage est certain.

Dans un RAC , il ne faut pas mettre des coquilles, de la dolomite et autre composés venant de coquilles mêmes concassées. Après de très nombreux essais de toutes sortes de coquilles, j'ai toujours relevé des po4 en sortie de RAC.

Je pense que c'est du au fait que la bestiole dans sa coquille produit des po4 et que la calcite absorbe les po4 et no3.

Ce serais super de la calcite sans po4, car on peut le vérifier, avec cet élément l'éluat est très haut en KH, mais ça pollue, donc j'ai arrêté de mettre de la calcite sous aucune forme.

Les roches saturées en po4 et no3 sont "attaquées" par des milliers de colonies de bactéries, elles les décomposent. Après du temps 5/6 semaines, les pierres sont "purgées de la saleté et on peut les mettre dans le bac sans risque. Il est probable qu'il reste des traces mais c'est insignifiant. 

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Il y a 1 heure, pseudomonas a dit :

Dans un RAC , il ne faut pas mettre des coquilles, de la dolomite et autre composés venant de coquilles mêmes concassées. Après de très nombreux essais de toutes sortes de coquilles, j'ai toujours relevé des po4 en sortie de RAC.

Bien d'accord avec Pseudomonas sauf peut-être pour la dolomite, minéral formé de carbonate double de calcium et de magnésium (et d'autres éléments plus ou moins souhaitables en fonction du lieu d'extraction).

Il me semble que les premiers substrats "fluidisables" que Deltec commercialisait pour ses RAC étaient de la dolomite dont le pH de dissolution était certes assez bas mais qui ne contenaient pas du tout de PO4...

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  • 1 moi plus tard...

Quelques news de novembre, où le Bubule vient de passer le Cap des 60s :fete

Le grand bac affiche 0.05 ppm de No3 et des algues assez semblables à de la cyano. Pas de tapis, mais des filaments bruns et d'autres verts. Les Parazoanthus gracilis que j'avais transféré du 450 litres 10 jours plus tôt, ne semblaient pas se plaire. Ils ne s'ouvraient pas. J'ai basculé un module Alpheus du 450 vers la zone Euphyllia et P. gracilis du 900. Je n'ai pas vu de différence notable sur les Parazoanthus.

Je l'ai re-transféré dans le 450 où il s'est ré-ouvert en deux jours. Je pense qu'il manquait de nourriture... J'observe l'Euphyllia qui semble OK, bien que moins déployé que celui du 450.

J'ai transféré dans la décante deux roches issues de la stabulation qui n'avaient aucune Aiptasia. Et deux autres que j'ai remonté dans le grand bac qui se trouvaient dans la décante (jeu des chaises musicales pour observations avant transfert).

Au regard des paramètres de la stabulation (Po4 0.00 et No3 5ppm), je pense que je vais stopper le réacteur et le vider. Armand, as-tu des préconisations ?

A votre avis, aurais-je intérêt à introduire du nitrate de potassium, attendre, ou introduire d'autres pollueurs.

Il faut également signaler qu'il n'y a encore aucune faune épuratrice dans ce bac (ophiure, escargot, BH ou crevette). Les Marcorocks qui constituaient la majeure partie des roches n'offrant aucune nourriture à cette faune jusqu'à peu de temps.

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