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  • Zanclus cornutus


    Denisio
    • Ce poisson m'a toujours fasciné. Plus que "Idole mauresque" son port me fait penser à ces princes arabes, fièrement dressés sur leur monture et que personne ne semble pouvoir intimider. L'été 2007 tout juste passé dans les eaux tropicales, et les images de plongées plein la tête, je décide d'acquérir un Zanclus cornutus.

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    1. Ce qu'on en dit

    1.2. Description générale

    Ordre : Perciformes.
    Sous ordre : Acanthuroidei.
    Famille : Zanclidae.
    Genre : Zanclus.
    Espèce : cornutus (autrefois canescens).
    Nom commun français : Porte-enseigne cornu, Idole mauresque, Idole des Maures, Tranchoir cornu, Pavillon cocher.
    Origine géographique : Indo-Pacifique, on le trouve depuis les côtes africaines jusqu'au Mexique. Il n'a pas pénétré la Mer Rouge.
    Taille adulte : mâle et femelle fréquemment autour de 15 cm, jusqu'à 23 cm

    Etymologie
    Le taxon provient du grec zagklon qui signifie "faucille" et du latin cornutus qui signifie "pourvu de cornes". Cornutus est l'unique espèce du genre Zanclus.

    Zanclus cornutus possède des traits très caractéristiques qui facilitent son identification. Son corps discoïde, comprimé latéralement est bardé de larges bandes verticales, alternativement noires et blanches. Une première bande noire descend en arrière des yeux. La dernière, plus étroite, au bout de la nageoire caudale, est concave et bordée d'un liseré blanc. Les bandes blanches centrales virent au jaune au centre du corps. La bouche est tubulaire, constituée de nombreuses petites dents fines, et marquée sur le dessus d'une tache jaune à orange caractéristique en forme de selle. Le front est tracé d'un liseré blanc en triangle au dessus des yeux. Enfin, les trois premières épines de la nageoire dorsale se prolongent très longuement, tel un étendard blanc qui confère à Z. cornutus cette allure si majestueuse. Les relations hiérarchiques étant importantes dans le groupe, cette nageoire conforte aussi le statut de dominant à celui qui possède "la plus longue".

    Zanclus cornutus : poisson-chirurgien ?
    Le genre Zanclus appartient au sous-ordre des Acanthuroidei (regroupant les familles Zanclidae, Acanthuridae et Siganidae). Ce nom Acanthuroidei comporte bien l'étymologie grecque ("Acanth" : épine et "Ur" : queue) mais Zanclus cornutus, qui ne possède pas cette fameuse épine sur la queue, n'est pas un poisson-chirurgien. En effet, on limite les poissons-chirurgiens à la famille Acanthuridae de même étymologie, qui regroupe les genres acanthurus, zebrasoma et nason.

    Les post-larves possèdent une épine pré-orbitale de chaque côté. Au stade adulte, celle-ci se développe en une petite crête épineuse au dessus de chaque œil, mieux visible chez les mâles. Cette distinction est à l'origine des deux appellations Z. canescens décrivant la forme juvénile et Z. cornutus plus récente, définissant la forme adulte et qui a été retenue. L'uniformité de l'espèce sur une zone géographique importante s'explique par la longue durée de vie des post-larves. Il semble cependant qu'il y ait quelques différences en tailles et en comportements entre les spécimens de l'Océan Indien et ceux de l'Océan Pacifique, les premiers seraient plus grands, plus craintifs et souvent en petites troupes ou par paires, tandis que les seconds seraient plus fréquemment solitaires ou par paires, et semble-t'il plus faciles à acclimater lors du nourrissage. Les spécimens des Hawaï seraient également plus vivement colorés que les autres et facilement reconnaissables.

    Génétiquement proche des poissons-chirurgiens, Z. cornutus ne leur ressemble pas physiquement. Son allure générale est plus proche des poissons-papillons et notamment des poissons-cochers (genre Heniochus), mais son museau tubulaire marqué d'une tache jaune sur le dessus et sa queue noire permettent de le distinguer aisément. De plus Z. cornutus ne possède pas cette membrane en arrière de la nageoire dorsale, visible chez les poissons-cochers.

    1.2. Comportement

    Zanclus cornutus
    Des signes très distinctifs.

    L'idole des Maures affectionne aussi bien les eaux turbides des récifs côtiers, des lagons, des baies ou des ports que les eaux claires des platiers et des pentes récifales externes. On le rencontre depuis la surface jusque dans des eaux profondes avoisinant les 180 m, souvent en petits groupes de couples, ou, lorsque la densité de population diminue, en paires isolées et parfois solitaires.

    E. Thaller a noté que le comportement restait toutefois plus proche de celui des chirurgiens : les attitudes de combat avec des nages rapides, côte à côte, comme s'il subsistait encore un éperon caudal, le comportement territorial ou les attitudes relativement agressives des individus en recherche de hiérarchisation au sein d'un groupe, contrairement aux nages paisibles caractérisant les poissons-papillons.

    1.3. Reproduction

    On ne sait pratiquement rien sur leur reproduction. Les Zanclus se regroupent par couples pour pondre sur les pentes externes du récif. Les larves pélagiques se répandent durant une période assez longue si on en juge l'aire importante de répartition. Elles reviennent ensuite dans les zones protégées des lagons, à la fin de la période post-larvaire, lorsque leur taille atteint une quinzaine de milimètres. Des groupes de 5 à 6 individus se forment près des massifs coralliens pour poursuivre leur croissance durant six mois, jusqu'au stade adulte où leur taille avoisine les 12 cm, avant de retrouver la pente externe.

    1.4. Maintenance

    Z. cornutus est réputé très difficile à maintenir en captivité. Je suis un peu gêné face à ces commentaires tant ils diffèrent de ce que j'ai pu constater récemment chez plusieurs professionnels ou amateurs et de ce que je peux déduire de mon expérience comme je vais le commenter plus loin. Les Zanclus du Sri Lanka, des Maldives et d'Hawaï s'acclimateraient mieux que ceux d'Indonésie. A l'époque de ces statistiques, les conditions de capture, de préparation ou de transport n'étaient peut-être pas égales selon les régions. Les attentions sont maintenant plus poussées et les poissons arrivent en meilleure forme, ce qui peut expliquer l'amélioration du taux de réussite depuis ces constats parfois anciens.

    1.5. Relations inter-spécifiques

    Zanclus cornutus
    Toujours très observateur.

    Z. cornutus est généralement jugé calme et timide, ce qui rend son acclimatation à son environnement plus difficile. Je ne partage pas vraiment ce point de vue, ces caractéristiques pouvant résulter d'un stress d'import. On conseille souvent d'entourer cette espèce de poissons calmes pour ne pas la stresser, mais cette recommandation vaut pour tout animal à l'acclimatation. L'équilibre entre les espèces présentes, mon expérience le confirme avec une population ayant évolué dans le temps, fait que le poisson peut devenir successivement dominé, dominateur ou très sociable. Bien acclimaté, Z. cornutus s'avère un poisson solide, calme et sociable avec les autres espèces, et on peut, avec de bonnes conditions, caresser l'espoir de le maintenir longtemps, une dizaine d'années et plus dans les meilleurs cas. On ne connaît pas de poisson incompatible en aquarium amateur. 

    1.6. Relations intra-spécifiques

    Cette espèce supporte mal la présence de congénères, surtout dans les faibles volumes des particuliers. Aujourd'hui, seuls quelques aquariums publics peuvent présenter des petits bancs. Comme bien souvent, l'intimidation se traduit par des courses-poursuites, les "prises de bec" sont bien réelles, les poissons se mordent, se saisissent par la bouche et tournent sur eux-mêmes.
    Bien que les tentatives soient encore rares et incertaines, E. thaller recommande vivement l'implantation de couples, de nature à limiter les situations de stress et donc les pertes inexpliquées d'individus. Il est impératif de suivre attentivement les premiers moments de cohabitation, de contrôler l'agressivité par des distributions plus fréquentes de nourriture et de vite retirer le spécimen dominé si les agressions deviennent trop fortes. Il semble qu'en présence d'un couple réel, l'équilibre hirarchique est assez vite stabilisé, il n'y aurait pas de véritable agression, seulement des taquineries plus ou moins marquées selon le rapport de taille.

    1.7. Alimentation

    Zanclus cornutus
    Zanclus cornutus, reef safe ?

    Zanclus cornutus est un omnivore à prédominance végétarienne, mais il ne dédaigne pas les invertébrés (tuniciers, éponges, polypes coralliens, vers tubicoles). L'alimentation représente déjà un frein à sa maintenance en aquarium récifal, mais pour l'aquariophile seulement. En effet les roches colonisées et les bouquets coralliens d'un aquarium mature ne peuvent que favoriser l'acclimatation, les invertébrés du bac seront convoités, mais à ce sujet les témoignages varient à l'extrême selon les spécimens, la prédation sur les coraux est jugée acceptable jusqu'à parfois insupportable. Les coraux à petit polypes ou les vers tubicoles risquent d'être titillés. La nourriture pour l'acclimatation devra comporter des algues bien-sûr, sans négliger tout ce qui peut exciter son appétit comme les Artémia, les bivalves ( moules, huîtres), les œufs de crustacés, si besoin complétés d'ail au pouvoir appétant. Malgré les prises de nourriture, l'acclimateur observe une période d'amaigrissement d'environ trois semaines après son arrivée, suivie d'un mois pour retrouver sa masse corporelle. J'ai appris par un expert en la matière que, durant cette période, les granulés préalablement trempés dans l'eau, comme ceux réservés aux Discus, sont utilisés avec succès. Si Z. cornutus est avant tout un brouteur, avide de nourriture, il apprend très vite à gober celle qui flotte en pleine eau.

    2. Ce que j'en sais

    Ce poisson m'a toujours fasciné. Plus que "Idole mauresque" son port me fait penser à ces princes arabes, fièrement dressés sur leur monture et que personne ne semble pouvoir intimider. L'été 2007 tout juste passé et les images de plongées plein la tête, je décide d'acquérir un Zanclus cornutus. Mais le spectacle des petits groupes en bancs épars est trop merveilleux, mon bac est peu peuplé et les 1000 litres me paraissent suffisants pour caresser l'espoir de réussir la maintenance de deux spécimens. J'opte pour un couple.

    Zanclus cornutus
    Il recherche le contact visuel et aussi tactile.

    Stéphane, vendeur animalier bien connu et reconnu de la région toulousaine aime les défis, de plus un de ses circuits d'approvisionnement prend naissance à la Réunion. Il me promet de faire le maximum. Ces paroles dans sa bouche valent de l'or, je me vois déjà avec le couple paradant entre les pierres du décor. Décor que dès le lendemain je m'efforce d'aérer encore, en agençant de larges grottes et des failles, pour que ces princes puissent évoluer librement, leurs étendards déployés. Un mois, deux mois puis trois mois passent, Stéphane m'explique que fournir une paire de juvéniles, c'est simple mais sans garantie de cohabitation pour l'avenir. Trouver un couple est autrement plus délicat, il faut atteindre le stade adulte quand le caractère est affirmé. Pas si évident sachant que je souhaite un couple de petite taille. Puis il faut observer attentivement le comportement de la paire, laisser passer les premières escarmouches et vite stopper la tentative en cas d'échec. C'est ainsi que passent quatre mois, puis cinq et enfin six mois au bout desquels je lui confirme d'arrêter la quête : un suffira. Des Zanclus, il en voit passer dans son magasin, et quand il m'appelle le 20 avril 2008 pour m'annoncer qu'il tient le spécimen idéal, vous imaginez que les 80 kms sont avalés en moins de temps que celui passé à admirer l'élu derrière la vitre de son petit bocal. Quelle allure ! Il mange déjà des Artémia et même des granulés, sans s'inquiéter de ses colocataires.

    Zanclus cornutus
    Un étendard sans fin.

    Ma confiance en Stéphane est sans borne, arrivé à la maison le plouf est rapide et déjà Zanclus visite le décor sous l'œil inquiet d'Acanthurus sohal. Les autres habitants sont moins curieux, Zebrasoma flavescens n'y prête pas attention tandis que Pygoplites diacanthus, fidèle à son habitude, observe, mais à distance. Première distribution de nourriture, les granulés de Discus, sont tout de suite appréciés et dans la frénésie générale il se jette vite sur la préparation congelée habituelle à base d'épinards, de poissons, de crustacés et d'autres fruits de mer. Le lendemain, il vient déjà manger dans les doigts. Ce Zanclus là n'est pas à l'image des descriptions habituelles, affamé et craintif.

    Il semble totalement méconnaître les règles hiérarchiques, exacerbées dans un aquarium de taille modeste. Aucun locataire ne parait l'inquiéter, mais cette houppette qui n'en finit pas d'ondoyer dans le courant est décidément attirante, A. sohal en fera son régal durant de nombreux mois. J'avais toujours pensé que l'extrêmité de cette dorsale s'arrachait toute seule dans les anfractuosités du décor, mais ce n'est que plus tard, lorsque je me suis séparé d'A. sohal qu'elle est définitivement restée intacte. Heureusement, cet étendard repoussait vite, de 3 à 4 cm dans la journée, ce qui permettait à Zanclus de retrouver très vite sa dignité.

    Si A. sohal est le maître incontesté du bac, Z. cornutus ne se laisse pas impressionner. Il n'a d'ailleurs jamais eu de point blanc ni d'autre marque de stress. Bien au contraire, il recherche le contact externe, probablement à cause de son apétit toujours aiguisé. Durant les distributions, il n'hésite pas à venir au contact de la main, et la mordille si elle n'est pas assez généreuse. C'est un goinfre qui mange tout ce que je lui donne, cependant il ne touche à aucun corail ni aux deux bénitiers, contrairement à de nombreux spécimens dont se sont rapidement séparés leurs propriétaires, tant la prédation était importante.

    Zanclus cornutus
    Quelques têtes de Caulastrea sp. entamées.

    Il aura fallu plusieurs mois de présence pour qu'au retour d'un week-end, je constate quelques polypes de Caulastrea entamés. Bon sang, c'est bien lui le coupable, je peux l'observer, grignotant consciencieusement un polype de ce Caulastrea furcata bleu que j'ai eu tant de mal à sauver. Zanclus s'intéresse aussi d'un peu trop près à des branches d'Acropora qu'il inspecte dans le détail, et puis également aux polypes d'un Turbinaria mesenterina, celui de mon épouse ! Et plus que d'y porter de l'intérêt, ses mouvements du corps sont bel et bien ceux d'un animal qui picore. Désespéré en imaginant la destruction future des colonies de coraux, je décide de me séparer de ce prédateur qui, d'un seul coup, n'a plus rien du fier prince arabe. Le soir même je le propose à des amis du club, qui bien entendu déclinent la généreuse proposition après la description que j'en ai faite.

    Quelques semaines passent pour me rendre compte que la prédation est finalement supportable. Les belles colonies de Caulastrea furcata, C. echinata ou C. echinulata verts, jaunes, bleus ne sont pas systématiquement picorées mais plutôt lors d'absences de trois à quatre jours. Les polypes décharnés sur le sommet des calices ont le temps de totalement se reconstituer sur leur squelette en quelques jours, sans que la prédation se poursuive et avant la prochaine cure. Car, plus que la sous-alimentation, je suppose que Z. cornutus trouve dans ces polypes, des éléments qui lui font défaut dans la nourriture habituelle.

    Ce Zanclus s'intéresse aussi dans certaines circonstances, à l'un des deux Turbinaria et aux Acropora, notamment lorsque je procède à une tempête ou lorsque des microbulles ont un moment envahi le bac, bref chaque fois que ce Turbinaria mesenterina , en forme de coupole est dérangé par quelques sédiments qui se déposent sur le fond et que les Acropora larguent leur mucus. J'ai pu le confirmer plusieurs fois, Z. cornutus est friand occasionnellement de quelques polypes, mais essentiellement du mucus des coraux. Z. cornutus est un technicien de surface.

    Zanclus cornutus
    Z. Cornutus en quête de micro-organismes.

    En dehors de ces périodes, je remarque que Zanclus s'intéresse également à divers Acropora, mais son attitude est alors curieuse et m'a longtemps interrogé. En effet, il use de contorsions pour ausculter la base des branches à l'extérieur ou entre elles. Il observe longtemps un endroit précis d'une branche avant de décider, mais pas systématiquement, de piquer. Pourquoi tant de précautions ? Si les polypes attirent son attention, pourquoi ne choisit-il pas ceux de belle taille, qui s'offrent a profusion, déployés devant lui et accessibles d'un seul coup de mâchoire. La solution m'est apparue, plus tard alors que certains SPS étaient envahis de planaires d'acropora. Bon sang, mais c'est bien-sûr, Z. cornutus est friand de cette espèce de planaires (malheureusement pas des Convolutriloba retrogemma ), et son intérêt pour les Acropora porte plus précisément sur ces vers plats, à peine visibles, et difficiles à attraper, qui se repaissent du coenenchyme entre les polypes. J'en ai la confirmation, chaque fois que, toutes pompes de brassage arrêtées, je dirige manuellement le jet d'une pompe vers les zones atteintes de planaires. Habitué au scénario, Z. cornutus accourt et dès qu'un planaire se décolle, il le gobe en pleine eau, sans attendre. En reproduisant ce petit manège mensuel, les colonies de planaires ne sont pas éradiquées mais régressent, les coraux moins atteints peuvent lutter et conserver leurs couleurs. Sur ce coup, le prince arabe devient un Sultan !

    Zanclus cornutus
    Séance nettoyage

    Après deux ans et demi, et surtout depuis que je me suis séparé de A. Sohal devenu trop grand et trop stressant pour le bac, Z. Cornutus est devenu le maître incontesté. Il n'hésite pas à mordiller, sans gravité, ceux qui viendraient lui concurrencer trop ardemment la nourriture, ce comportement le rapproche bien des poissons-chirurgiens. Il s'en prend même à P. diacanthus, plus gros que lui. Le caractère franchement dominateur de cette espèce me laisse perplexe lorsque je lis parfois le conseil de ne pas dépasser 5 à 6 individus pour 1000 litres. Les bancs de Zanclus sont et seront longtemps réservés aux aquariums publics, pour notre plus grand plaisir. Z. cornutus semble bien s'accommoder de sa vie dans ce milieu captif, il vaque assez naturellement à ses occupations dont la recherche de nourriture et accessoirement le déparasitage.

    Loin des schémas traditionnels que l'on prête à l'espèce, ai-je eu la chance de tomber sur une perle rare ? La satisfaction quotidienne de voir évoluer ce poisson avec autant de naturel et en l'absence de plus gros poissons, je ne désespère pas de pouvoir former un jour un couple. Il est dit qu'il peut dépasser 10 ans en aquarium, j'ai donc encore un peu de temps.

     

    3. En savoir plus

    Zanclus + Zanclus = un couple ? - E. Thaller - Corail (07/08 2007 vol 1)

    Denis TOURNASSAT

     

    Article publié par Cap Récifal le 20 octobre 2010 avec l'aimable autorisation de l'auteur.

    Modifié par Denisio

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