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Doser de l'ozone ? oui c'est possible...


jms

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Faisant suite à beaucoup d'interrogations au sujet de l'ozone, nous avons entamé une longue réflexion sur la possibilité de sécuriser l'injection d'ozone   de long mois de travail .

Partant du constat que la méthode habituelle du contrôle par une chaîne de régulation redox était relativement peut efficace, du notamment à l'évolution lente du potentiel redox au regard de la vitesse d'injection de l'ozone, nous avons cherché une alternative.

Force la encore de constater qu'il n'y avait sur le marché que des ozoniseurs souvent surpuissants par rapport aux doses préconisées par la littérature récifale ( 5-10 mg/h par tranche de 100 litres d'eau), nous avons commencé par chercher une cellule d'ozonisation à effet Corona de puissance moyenne.

Un autre point marquant est le fait que nombre d'utilisateurs de notre système de dosage DIGIDOSER+++PRO n'utilisent pas les 6 canaux disponibles, nous avons donc développé une programmation d'alimentation chrono-temporelle spécifique à l'ozone, avec une possibilité de réglage par pas de 5 mg/h associée à une programmation horaire sur plage de temps, ce qui permet d'assurer une injection nominale contrôlée en fonction du volume du bac sans avoir à passer par l'onéreuse régulation du rédox. 

Cette nouvelle façon d'aborder le contrôle de l'ozone permet contrairement à toute autre solution de limiter également les apports instantanés par des temps d'injections très courts et répétitifs, assurant ainsi l'absence de pics d'ozone qui risque également de ne pas pouvoir êtres dissous suffisamment vite te de se retrouver avec de l'ozone dans l'air ambiant.

Cet pack DIGIDOSER+++PRO et cellule de génération d'ozone O3+++PRO est très économique puisqu'il permet bien sûr toutes les applications de dosage habituelles liées au pompes doseuses.

Tant qu'à faire, nous avons également fait évolué le nouveau soft embarqué en y adjoignant la possibilité de doser non seulement en volume par millilitres, mais et là encore c'est une innovation unique sur le marché, de doser goutte par goutte, c'est à dire de maîtriser l'ajout de produit à la goutte près !

Si on couple le tout avec les systèmes de pré-mélange déjà disponible avec le DIGIDOSER+++PRO, on obtient une solution universelle ouvrant une possibilité de dosage sans aucune limitation fonctionnelle.

Comme toujours, nous avons voulu pouvoir faire profiter de ces innovations aux possesseurs de DIGIDOSER+++PRO antérieurs et un upgrade sera disponible permettant de bénéficier de ce nouveau soft.
digidoserpro-pack-ozone.jpg

http://neo3plus.com/fr/regulation-confort/305-digidoserpro-pack-ozone.html

 

 

 

NOTICE_DIGIDOSER+++PRO_V5.07_FR.pdf

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Merci Jean Marc.

 

Beaucoup d'innovations pour plus d'applications. Ca me donne des idées !

 

Plusieurs questions qui montrent, si besoin était, que je ne connais rien de la distribution d'ozone :

- Comment connaît-t-on la quantité d'ozone produite par effet corona ? J'imagine qu'il n'y a pas de système de mesure, la quantité d'ozone serait alors issue d'un calcul théorique, par exemple en fonction de la puissance de la lampe ?

- Quel est le type d'ampoule, ou trouver ce type d'ampoule ?

- Ce système régule une quantité d'ozone par mesure d'un volume de liquide. Cela suppose que le niveau de dilution est connu. Comment ?

 

Et une observation, qui n'appelle pas forcément de réponse :

Si le silicone a une excellente résistance à l'ozone, ce n'est pas l'élastomère le plus imperméable aux gaz, loin s'en faut. Je ne connais pas la perméabilité du silicone à O3, notamment celle du silicone à groupements méthyles utilisé pour les tuyaux extrudés. Sa perméabilité à O2 est de l'ordre de 200 mmol/(m·s·GPa), j'imagine qu'elle est un peut moins élevée pour de l'ozone cette molécule étant un peu plus encombrante. Mais ça reste notoirement un matériau perméable aux gaz, dont ont exploite d'ailleurs cette caractéristique dans certaines membranes poreuses ou pour les lentilles souple hydrogel. Le temps de latence dans le tuyau n'est pas anodin, selon la longueur, mais pas si important non plus. Point positif, la pression du gaz est très faible et la vitesse de diffusion l'est surement. Bref, je n'ai pas d'idée précise si  cela représente un risque quelconque. Il n'y a peut-être pas de meilleur compromis, sinon un PVC plastifié...

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La quantité d'ozone théoriquement produite par un système à effet Corona est lié à la surface d'échange air/électrodes et à la valeur de la haute tension. Dans le cas des cellules O3+++PRO, il s'agit d'électrodes plates soumises à une tension ~4kV produite à partir de 12Vcc. La perméabilité du tube silicone même si réelle, peut être négligée dans cette application, en effet le tube est en dépression continue puisqu'on alimente la cellule O3 par l'organe déprimogène de l'écumeur et cet état subsiste même si la cellule n'est plus alimenté. Dans le cas de la cellule O3+++PRO couplée à l'unité de commande d e pompes doseuses DIGIDOSER+++PRO, on alimente l'ozoniseur avec le ration 1" = ~1mg/H, sachant que la capacité nominale est de 300mG/H et que cette valeur est vraie pour un air sec dans des conditions optimales de flux traversant. 

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La quantité d'ozone théoriquement produite par un système à effet Corona est lié à la surface d'échange air/électrodes et à la valeur de la haute tension. Dans le cas des cellules O3+++PRO, il s'agit d'électrodes plates soumises à une tension ~4kV produite à partir de 12Vcc. La perméabilité du tube silicone même si réelle, peut être négligée dans cette application, en effet le tube est en dépression continue puisqu'on alimente la cellule O3 par l'organe déprimogène de l'écumeur et cet état subsiste même si la cellule n'est plus alimenté. Dans le cas de la cellule O3+++PRO couplée à l'unité de commande d e pompes doseuses DIGIDOSER+++PRO, on alimente l'ozoniseur avec le ration 1" = ~1mg/H, sachant que la capacité nominale est de 300mG/H et que cette valeur est vraie pour un air sec dans des conditions optimales de flux traversant. 

 

Fallait pas poser la question!!!! 8)  :D  :D

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Fallait pas poser la question!!!! 8)  :D  :D

 

Ah non, aucun regret. C'est une bonne vrai réponse, c'est si rare ! Merci Jean Marc

 

Il me reste plus qu'à trouver l'organe déprimogène. J'ai bien un organe, mais je doute. Celui là doit bien se trouver pas loin de l'écumeur mais je ne sais plus où. Bon sang, mes gouttes !

 

Serait-ce l'arrivée d'air ?

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Quid de le dilution de l'ozone dans l'eau avec tout ça ?

 

C'est bien de savoir ce que l'on produit mais si les 3/4 partent dans l'air 

 

Avec mon BBK et le DigiO3 réglé presque au minimum ça dissous bien  , on ne sent presque rien et le redox grimpe rapidement, par contre effectivement grosse différence d'efficcacité avec un filtre déssicant neuf ou saturé

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Le système de dosage que nous avons mis en place fonctionne sur des cycles de 300 secondes, pour doser 10MG/H, on injecte l'ozone durant 10" toutes les 300" ce qui laisse largement le temps à la dissolution, d'autant que la quantité d'ozone est directement liée au volume d'eau du bac et que la taille de l'écumeur servant de chambre de réaction est elle aussi proportionnelle à ce volume, il ne devrait pas avoir le moindre soucis coté dissolution de l'O3

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OK Merci

 

L'unité de production d'ozone est donc pilotée par pas de 1 sec sur 300 sec , chaque pas correspondant à 1 mg/h, elle est alimentée en 12V cc , elle peut donc être pilotée directement par l'Apex sans digidoseur si je ne me trompe pas

 

J'ai mis mon ozoniseur DIGI03 sur l'apex , il fonctionne parfois ( moins maintenant ) pour des périodes limitées

 

Un des pb est la saturation de la cartouche de silicagel qd l'ozoniseur n'est plus en fonction, car l'air lui continu à passer, j'ai donc monté à l'entrée d'air de la cartouche de silicagel une électrovanne à commande directe ( c'est à dire pas de pression necessaire pour le passage du fluide ) 

 

Cette EV coupe l'alimentation en air après la coupure de l'ozoniseur, ainsi la cartouche de silicagel dure très très longtemps avant de necessiter une régénération

 

IMG_2441.jpg

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