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Maintenance heliofungia


berni

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Bonjour à tous ,

 

Mon mag préféré vient de recevoir des heliofungia vert de 10cm environ :yahoo:

 

j'aime bien ce corail , mais je sait qu'il peut être dur à maintenir ..... je vais avoir besoin de vos lumières pour savoir si je risque ou pas dans prendre un :D

 

Question la plus importante : est t'il tenable dans le temps dans un bac récifal ?

 

Qu'elle sont c'est besoin en nourriture ?

 

C'est t'il se défendre contre les crevettes qui voudrai lui voler ça pitance ?

 

Besoin en brassage et lumière ?

 

Si vous avez d'autre idée ou conseil , je suis preneur ;)

 

Bac 300 litres ( 45 cm hauteur d'eau )

éclairage T5

Sable

CA = 440 / Mg = 1350 / KH = 8 / T° = 25.5 à 26.3 / nitrate = - de 5 / phosphate = indetectable

 

Merci

 

 

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A ma connaissance et d'après mon expérience (mais c'était il y a près de 10 ans), impossible à maintenir en bac récifal. On peut seulemnt espérer une survie de quelques mois. Donc à ne pas acheter.

Dommage car c'est un magnifique corail avec des polypes qui ondulent dans le courant.

En tout cas il faut le nourrir, zooplancton et parfois une crevette ou une moule déposé sur sa bouche à l'extinction des lumières.

Peut-être qu'avec les progrès réalisés ces dernières années arrivera t-on à les maintenir à long terme. C'est pour cela que j'ai lancé un fil sur la maintenance des LPS. Afin que chacun apporte ses expériences et connaissances pour ,entre autres, avoir la joie de faire croitre des espèces qui nous étaient inaccessibles jusqu'à présent.

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Bonjour,

J'ai maintenu un Heliofungia actiniformis pendant plusieurs années (six ou sept ans, peut-être plus) et je l'ai malheureusement perdu en moins de deux jours, il y a trois ou quatre mois, sans raison apparente.

Il était placé sur le sol, le brassage était moyen mais l'emplacement lui permettait de prélever quotidiennement sa part de l'alimentation des poissons. Ce "brassage moyen" permettant juste l'ondulation permanente des polypes.

Pour la lumière, il semblerait que l'animal apprécie de ne pas être uniformément éclairé. C'est-à-dire qu'une moitié ou plus peut être en pleine lumière alors que tout ou parties du reste du corail peut être légèrement moins éclairée (ombre d'un autre corail placé plus haut ou PV).

Pendant des années, mon Forcipiger flavisimus, après la distribution de nourriture, finissait sa tournée en allant voler krill ou Artémia capturés par l'Heliofungia sans que ce dernier semble en pâtir. Mais un Forcipiger ou un Chelmon sont bien plus doux qu'il n'y parait et je ne suis pas sûr que des crevettes comme les Lysmata aient autant de prévenance lors de leurs larcins.

Il est primordial lors de l'achat (et bien sûr après) que l'animal ne présente aucune lésion, aussi petite soit-elle.

Pour revenir sur l'alimentation et le brassage, je distribue tous les matins, de nuit, une pincée de Cyclop-Eeze en flocons, la main dans l'eau pour éviter qu'il ne flotte à la surface et, quand les poissons sont venus se servir, j'écrase le reste le plus finement possible pour que les coraux puissent aussi en profiter. Le soir, lumière allumée, je donne un mélange de surgelés composé de mysis, de krill, d'artémia, d'œufs de poissons, de plancton rouge, de cyclopes et de calamar haché. De la variété mais une quantité plutôt modérée. Les distributions se font brassage en pause et j'imagine qu'à sa reprise, les aliments restant et qui ont eu le temps pour certains de couler, sont mieux répartis dans tout le bac.

Et, pour en revenir au brassage justement, bien plus que modéré ou fort, l'idéal reste de trouver un "lieu de dépose", une partie du bac où les sédiments (et donc certains aliments) ont tendance à venir se déposer. Dans le même esprit, je maintiens aussi depuis plusieurs années trois espèces différentes de Goniopora dans des conditions très proches.

Je ne nourris donc pas spécifiquement les LPS (ni mêmes mes deux espèces de Tubastréa) mais recherche plutôt les places à même de leur convenir.

Parlant de Tubastréa, tu peux également appliquer la même technique avec l'Heliofungia, à savoir le placer juste sous l'endroit où tu nourris les poissons, le brassage arrêté. Il devrait donc profiter quotidiennement et indirectement de toutes "les retombées".

En résumé, alimentation variée (comme pour les poissons !), lieux de dépose, lumière inégalement répartie et eau de qualité avec des taux de PO4 et de NO3 de très faibles à indécelables.

Pour rappel, ce ne sont absolument pas "les clés de la réussite" dans la maintenance de ces coraux fragiles et j'ai peut-être plus simplement eu la chance de tomber sur la perle rare, un animal particulièrement résistant ou bien le hasard m'a permis de trouver dans mon bac un emplacement aux paramètres très proches de ceux de son prélèvement en milieu naturel.

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Merci pour vos témoignages

 

EAUVIVANTE :

Ton témoignage ressemble malheureusement à presque tous se qui se dit sur se magnifique corail

Après , comme tu dit les maintenances on évolués ..... mais il faudrai savoir si cette évolution peut profiter à se corail

se qui était dur avant peut devenir réalisable ( Goniopora ) ...... a contrario , le catalphyllia qui avant était simple est devenu très dur à tenir ( le miens survit , plus qu'il ne vie )

Ton post sur la maintenance des LPS est un très bon sujet .... il faudrai qu'on l'étoffe un peu

 

 

Dompail :

Que de précision ;) et une petite lueur d'espoir pour la maintenance de se corail

L'alimentation à l'air de jouer un rôle important pour certain coraux .... sûrement une des clefs de maintenance réussie

Nous nourrisont certainement plus et surtout plus varier qu'avant ...... nous ne nourrisson plus seulement les poissons , mais nourrisson l'ensemble du bac

 

Le placement à un endroit bien réfléchie ( lieux de dépose ) peu aussi aider ... cela évite de les nourrir spécifiquement

La seul place libre à ces conditions ..... le brassage y est idéal , c'est le coin euphyllia

 

Pour la nourriture , je nourrie uniquement au congelé ( jamais de granuler ou flocon ) ..... je rajoute juste de temps en temps des vitamines et du Cyclop-Eeze en flocons finement haché , le tout mélangé et direct dans le bac

Par contre je ne coupe pas mes pompes de brassages ..... comme ça le courant dépose le restant de nourriture sur les coraux et la micro-faune en profite aussi ( en plus les poissons font du sport :D )

Le restant est vite manger par les BH ( 1 par tranche de 25 litres ) , crevette et autre

 

 

Maintenant , il en ressort que se n'est pas un corail facile et qu'il faut que plusieurs paramètres soit bon pour pouvoir le maintenir sur le long terme ( mais on ne les connais pas tous )

 

Je vais encore réfléchir avant de me lancer .... je ne voudrai pas perdre se corail

 

 

 

 

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