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another chance


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Le rotor Eheim est enduit de 2 couches de résine epoxy avec un séchage long.

J'ai une tête (les pales) en réserve mais cela fonctionne sans problème. Les vieux renards du bricolage ont fait tous les essais possibles. L'hydroxyde de calcium, vous ne pouvez imaginer le nombre d'essais et de rotors (maxi jet comme fiat italien), les pales de ces rotors ce dissolvais et les axes en inox usés sur l'épaisseur. 

Bref, il ne faut jamais dire a un biolo les méthode radicales que j'ai pu employer, cela m'a permis de connaitre toutes les fausses manip, et trouver le bon usage d'un produit a 12,7 de PH et qui enrichis un aquarium en calcium. 

Le long apprentissage du récifal en mode débrouille.

Armand 

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Histoire de calcium suite ...

Pour indication ; la distribution du lait de chaux dans mon bac. Le pilotage s'effectue par une sonde via un phmètre réglé (la méthode existe depuis 28 ans), lorsque le ph descend sous la consigne ex: 8,22, la distribution du lait de chaux s'effectue. 

Ce qui est intéressant ; pour ceux qui utilisent une distribution préréglé sur horloge. Ce sont les variations de quantité de lait de chaux distribuée selon l'heure de nuit. Un repère intéressant en dosage de l'apport d'hydroxyde de calcium, le soir la distribution est moyenne, la nuit c'est plus, le matin ça ralenti. Horaires de 21H a 9H30 distribution d'hydroxyde.

En clair ; le soir après arrêt des projecteurs la distribution est de 30 a 40 gouttes, après pause de 20minutes environ,  cela reprend.  Période de 21H a 1H00. 

Après 1H00, la quantité de gouttes augmente de 40 a 60 gouttes, après pause de 20 mn environ. 

Après 3H00, la quantité de gouttes augmente de 80 a 100 gouttes, après pause de 20 mn environ. 

Arrivé a 5H00, la quantité baisse de 40 a 60 gouttes, après pause de 20 mn environ. 

A 7H00, la quantité de gouttes baisse de 30 a 40 gouttes, après pause de 20 minutes environ. 

A 9H30 la distribution est a l'arrêt (minuteur) le ph est stable a 8,27 environ.

A 10H00 allumage des projecteurs et le ph monte progressivement ; a 13H00 = 8,33, a 15H00 = 8,36, a 16H00 8,41 (maxi) 

En suivant cet apport d'hydroxyde sur le temps de nuit on peut établir des périodes de dosage moyen a fort. On peut ainsi établir un tableau horaire pour une distribution programmée sans phmètre.

Ce texte est une description de la distribution d'hydroxyde sur mon bac, cela peut éventuellement servir ceux qui programme une distribution ; eau de chaux ou lait clair de chaux par étapes sur horloge. La distribution est la plus forte entre 3H00 et 5H00 de la nuit. Un réglage un peu moins a l'aveugle en rapport avec la "respiration nocturne".

Armand 

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Merci Armand pour ce compte rendu. C’est intéressant… et surprenant à la fois.

Je me suis permis de faire une courbe à partir de tes données pour mieux visualiser la fonction. Horaires décalés à partir de 13h pour mieux visualiser la courbe.

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C'est intéressant, parce qu'on voit bien la montée en puissance de l’apport d’hydroxyde au fil de l’activité photosynthétique nocturne. Baisse qui est finalement jugulée par l’apport d’hydroxyde. La montée au régime maxi environ 5h après l’extinction de l’éclairage.

On constate un pic au milieu de la phase nocturne, puis une baisse de l’apport. Ce qui est surprenant, car cela intervient environ 5h avant l’allumage. J’aurais pensé que l’apport maxi aurait été maintenu tout au long de la phase nocturne, soit au moins jusqu’à l’heure de début de l’éclairage.

Aurais-tu une explication ?

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Selon l'heure la demande est moyenne, en milieux de nuit je constate chaque fois une augmentation des gouttes d'hydroxyde entre 3h00 et 5h00. Très souvent je me lève, par curiosité et passion, je compte le nombre de gouttes avec une petite lampe de poche. 

Ce n'est pas un nombre de gouttes a la minute, le rah donne 1 goutte toutes les 3 secondes. C'est réglé pour permettre au mélangeur de distribuer l'hydroxyde a vitesse lente et a la sonde de réagir a la montée du ph. 

Avec certitude sur mon bac il y a distribution intense entre 3h et 5h. Entre 5h et 8h la demande est moyenne. La on ne tombe pas dans une idéologie, une croyance non fondé, on peut se baser sur une expérience réelle. Pour 20 gouttes on a en moyenne 1 ml de liquide. Exemple ; pour 80 gouttes on a 4 ml de solution. Je ne compte pas en temps mais en gouttes.

Pour 80 gouttes cela dure environ 4 minutes de fonction, c'est long pour 4 ml mais le mélange est mieux assimilé car le lait de chaux que j'envoie est très saturé, il faut un temps suffisant pour éviter une précipitation. 

Je pense que sur une horloge il est certainement bon de distribuer lentement l'hydroxyde au pas a pas et non pas en filet. Cela permet un meilleur mélange et un approvisionnement avec délicatesse. avec un minuteur électronique on peut régler a la minute, pas avec un mécanique. 

Avec un simple phmètre (sans pilotage) on peut voir de nuit, a quelle valeur le ph chute et en déduire les besoins en hydroxyde. Je pratiquais de la sorte sur le grand bac de 3m et j'ai compris les quantités d'hydroxyde que je pouvais envoyer. C'est une méthode empirique mais avec discernement on peut établir les distributions selon les besoins réels.

Pour ton croquis Franck super, je ne réussi pas avec l'informatique, et j'ai des centaines de croquis papier chez moi. J'ai donc repris mes crayons et voila ma version avec le niveau ph. Un dessin enfantin mais réaliste.

Armand  

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Du coup ça change beaucoup de choses. On ne peut plus parler de volume par heure. (Gts/min).

Pour obtenir une valeur fiable et pertinente, il faudrait mesurer les périodes de marche et d'arrêt, et leur nombre, heure par heure. Difficile dans l'état d'être précis. 

Ce qui semble certain c'est que l'apport commence au moment de l'extinction. (Un peu avant est déjà étonnant, puisque le pH n'a pas de raison de baisser naturellement). La photosynthèse commence ensuite à faire descendre le pH. 

On arrive à un maxi d'injection environ 6 après l'extinction. OK

La suite m'a étonné. Pourquoi le volume injecté baisse t-il en plein milieu de la nuit, alors que naturellement le pH aurait tendance à continuer sa descente ? J'imagine une raison, mais tu vas peut-être la faire tomber par un élément que je ne vois pas.

 Le maintien du pH est assuré par un réacteur dont la masse d'hydroxyde est plus ou moins diluée dans l'eau osmosée. Au début de l'injection, l'eau est saturée d'hydroxyde dissout, et seule cette eau de chaux est introduite dans le bac. Au fil des injections, le réacteur est de plus en plus agité et sature l'eau en particules d'hydroxyde, bien qu'elle soit déjà saturée en hydroxyde dissout. C'est du lait de chaux de plus en plus saturé qui est introduit dans le bac. Si bien que le volume de supplémentation baisse en même temps que la charge en hydroxyde augmente. La masse d'hydroxyde injectée restant plus ou moins stable jusqu'à la remontée du pH par la photosynthèse (dès l'allumage).

Voilà mon analyse. 

 

Modifié par Bubule
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Il y a confusion, une chose normale entre ceux qui dialoguent, cherchent a comprendre.

La concentration en hydroxyde n'est pas la même avec un agitateur magnétique que dans mon rah. Les explications du prof sur son rah parlent d'un niveau d'eau claire, d'un niveau d'eau chargé, d'un niveau d'eau très chargé. Il injecte l'eau du niveau "entre deux", soit chargé légèrement en particules non dissoutes. 

Dans le rah que j'utilise l'hydroxyde est mélangé en force, la pompe envoie ses 1200l/h a 10 cm du fond et aspire a 10 cm du bouchon. Ce que j'avais constaté en 2014 lorsqu'un mélange d'hydroxyde est forcé cela devient une sorte de "gélose". Les particule d'hydroxyde sont toutes dissoutes dans la solution. 

Les gouttes d'hydroxyde sont de même concentration après 15 jours de fonctionnement. A l'arrêt de la masse, l'hydroxyde se concentre mais aucune particule ne se dépose au fond du rah. A 25 les gouttes sont moins laiteuses, plus claires, dû a la baisse de concentration, il faut recharger le rah. Les photos suivantes sont 1 et 2 les rah en pause de 6 semaines dû au changement de cuve. 

J'ai ouvert le rah avant remise en fonction. Le mélange était gélatineux sans aucun dépôt. J'ai vidé et remis de l'hydroxyde frais. La photo 3 est le rah en pause en fin de journée, on voit le niveau de "gélose". Dès la remise en fonction le tube devient tout blanc sur toutes la hauteur. 

La suite après pour ne pas trop chargé le texte.

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Lorsque je dit ; 80 gouttes sont dispensés en 4 minutes, il faut prendre en compte que pendant 20 minutes environ il n'y a plus de distribution. La consigne ph 8,25 est atteinte, le ph est monté a environ 8,28. Comme la concentration d'hydroxyde est puissante, plus que dans un agitateur, l'ajout dure plus longtemps, d'ou les 20 minutes de pause. Il faut de nouveau du temps pour que le ph redescende a 8,25. 

Une "vision" entre la phase de ph haut de jour est inversée la nuit par une baisse du ph aux heures équivalentes ; ph haut a 8,40 l'après midi de 3h a 7h. Ph bas la nuit 8,25 de 3h a 5/6 heure ou la demande en hydroxyde est forte. La nature même en bocal est surprenante. Le ph sur le récif est de 8,40 le jour, de 8,20 la nuit. Un repère que je conserve pour la culture du corail en aquarium. 

Ce sont des valeurs de base, cette nuit a 5h58 je me suis levé pour un besoin naturel et je suis allé dans la pièce aqua. La première action est un doigt sur la pompe du rah pour sentir si elle fonctionne. La deuxième est l'affichage du phmètre qui m'indique 8,26 et la pompe se met en fonction, je compte les gouttes comme un idiot de service par habitude. 

C'est 92 gouttes de distribuées ce matin entre 5h00 et 5h05, ce n'est pas la quantité dite dans les moyennes mais plus. On ne dirige pas la vie active, les différences sont des choses normales. Je suis retourné dans mon lit douillet, j'ai attendu d'une oreille vigilante et normalement 5h06 + 20 serais 5h26. Et non, cela a repris a 5h57, la régularité du vivant n'est pas réalité écrite. 

Reste que les heures de nuit ou la demande est la plus importante sont de 3h 5/6 heures de la nuit. 

Armand 

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Je comprends bien ton raisonnement. Comme je suis pragmatique, j’essaie d’interpréter de façon logique les données que tu nous donnes.

Elles sont intéressantes parce qu’outre une base de renseignements exploitables, j’essaie de comprendre pourquoi ces mesures présentent une courbe de Gausse dont le pic se situe au milieu de la phase nocturne et non pas au moment de l’allumage, telle que ma logique me l’aurait fait croire.

Alors effectivement, avec ton réacteur, le lait de chaux reste homogène. Ou à peu de choses près durant plusieurs jours, au fil des remplissages/consommation d’hydroxyde. On ne peut donc pas envisager que ce soit l’homogénéité de la solution qui soit la cause d’une réduction du volume injecté par heure. Mais cela représente un gros avantage dans la compréhension, puisque c'est un élément stable dans la compréhension du phénomène.

Maintenant que tu nous donnes les périodes d’arrêt et de fonctionnement, il est plus facile d’en déduire un volume/heure (ou Gouttes par minute) :

   - Lorsque tu relèves 92 gouttes en 57 minutes, cela représente un débit moyen de 1.61 Gts/min (entre 5h et 6h)

   - Lorsque tu relèves 80 Gts en 24 min, cela représente un débit moyen de 3.33 Gts/min (est-ce entre 3 et 5h ? Donc plus élevé qu’ensuite)

Est-ce que la durée d’injection est toujours de 5 minutes ? (Réglée sur horloge, ou bien est-ce dû au temps de mesure de la remontée du ph par le pH-mètre lié à l’inertie du système (vol bac & cuves diverses + hystérésis de l’appareil de mesure) ?)

Bref, il va certainement falloir que tu boives un peu plus pour aller plus fréquemment aux toilettes et faire de nouveaux relevés. Dur ! Que ne ferait-on pas pour faire avancer le schmilblick ?

 

PS : Le phénomène pourrait aussi être expliqué par le manque d'activité humaine nocturne qui, en générant moins de Co2, fait moins baisser le pH.

Modifié par Bubule
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Je me suis mal exprimé 

Je ne fait pas la leçon, je donnes des observations sur mon bac. Dans mon dernier texte, je l'ai écris sur docs et imprimé avant de réécrire, je peut corriger les erreurs de composition. 

Il se trouve que j'ai écrit ; je me lève a 5h58, et entre 5h00 et 5h05 c'est 92 gouttes. Il y a erreur de ma part; c'est bien sur entre 6h00 et 6h05, ce qui induit une erreur de lecture. Ce que j'exprime sur ce fait est qu'il n'y a pas de fonctionnement hyper régulier de la demande d'hydroxyde. 

Pour une base ; le matin a 9h30 le ph ne monte plus, les tubes bleus (200w) sont allumé depuis 7h30. Les projecteurs s'allument a 10h. Le ph est de 8,28, il faut 5h pour atteindre 8,40 ph maxi. De 15h a 19h30 il ne redescend pas. Après 19h30, extinction des projecteurs, le ph descend très lentement a 8,25 vers 21h, il faut donc 1h30 pour la descente ph.

Pour l'hérésie, cela n'est pas important, sur le phmètre, elle est réglé au mini soit 0,02. Mon réglage est de 8,27 et le pilote met en fonction a 8,25 du aux 2 millièmes d'hérésie. 

Pour la respiration co2, il n'y a pas de poisson dans mon bac, cela ne change rien. Les variations de ph sont principalement du a la photosynthèse des coraux et algues. La nuit le co2 n'est pas absorbé comme le jour.

RÈSUMÈ ; le jour ph haut de 15h a 19h30. La nuit distribution forte d'hydroxyde de 3h a 5h/6h. Ce n'est qu'une indication d'observation, rien de bien important. Le mieux est de suivre de nuit avec un phmètre simple, les montées et descentes du ph sur son bac. On aura la plage ou il faut apporter l'eau de chaux. C'est la différence entre le phmètre esclave et l'aquariophile corvéable de nuit. 

Armand 

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Armand,

Il n’y a pas de leçon. Juste du partage d’expériences qui permettent de faire avancer la communauté. Pour une fois que le dialogue ne se restreint pas à poser des questions suite à une problématique, j’en profite :D

Et comme en plus je m’oriente vers une supplémentation assez proche de la tienne, je m’y intéresse encore plus fortement.

De ta dernière réponse, j’en déduis que tu préfères éviter de passer des nuits blanches à compter des gouttes chrono à la main. Dommage :D

Bien entendu, il est entendu que la supplémentation en hydroxyde doit s’effectuer à la baisse du pH. La nuit donc, au moment ou la photosynthèse s’inverse et dégage du Co2, ayant pour conséquence de faire baisser le pH.

Les données que tu avais présentées semblaient mettre en évidence une information que j’ignorais : A savoir que le besoin en hydroxyde pour maintenir un pH stable diminuait durant la seconde phase nocturne, après avoir été plus fortement nécessaire durant la première phase nocturne. Ce qui me semble faux.

En fait, j’ai fini par réaliser que les données étaient incomplètes, et compris que mon analyse ne pouvait être juste, puisque nous ne parlions pas le même langage. L’introduction d’hydroxyde peut bien intervenir durant toute la phase nocturne.

Mais je serais tout de même prudent si je devais introduire en aveugle, et attendrais quelques heures après l’extinction afin que le pH soit suffisamment redescendu pour éviter une précipitation.

Précipitation qui chez moi serait moins probable puisque je n'ai pas de sable. (Le sable ayant tendance à favoriser la précipitation puisque très basique par sa  nature calcique).

 

Il y a 17 heures, pseudomonas a dit :

Pour la respiration co2, il n'y a pas de poisson dans mon bac, cela ne change rien. Les variations de ph sont principalement du a la photosynthèse des coraux et algues. La nuit le co2 n'est pas absorbé comme le jour.


Je ne pensais pas à la respiration des poissons, mais de celle des occupants de la pièce.

L’écumeur et autres pompes d’oxygénation (sans compter les surfaces de contacts eau/air) puisent leur air dans le bâtiment. Bâtiment où nous vivons, et où le renouvellement d’air peut prendre du temps.

Bien que ce ne soit pas ton cas (il me semble), nos bacs sont habituellement positionnés dans la pièce à vivre. C’est là que nous y dégageons le plus de Co2. Lorsque nous la quittons pour aller dormir (si nous avons la chance de pouvoir avoir plusieurs pièces), le renouvellement d’air permet de faire baisser le taux de Co2 dans cette pièce, et ainsi de réduire la baisse de pH du bac. Ce qui aurait pu expliquer pourquoi l’apport en hydroxyde baissait, passé une certaine heure de la nuit.

En conclusion, tant que le besoin de supplémentation est limité, une introduction en milieu de nuit est suffisante sans autre artifice qu’un réacteur à hydroxyde et son EAU de chaux. La croissance en nombre et volume des coraux au fil des mois va nécessiter une augmentation de cet apport pour tenir les paramètres Ca+ et kH. Ensuite arrivera un moment où l’EAU de chaux ne suffira plus au besoin, et l’incorporation de LAIT de chaux deviendra nécessaire. A ce moment, il sera temps d’envisager le contrôle de cette introduction par pH-mètres, ou de compléter le besoin par un autre moyen (Balling, RAC, …).

C’est en tous cas la méthode que j’imagine employer à ce jour. Mais comme il n’y a que les … qui ne changent pas d’avis …. :D

Franck, alias Bubule (ou l'inverse)

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Histoires de Blue Lights 

Je suis passé du côté des recifalistes aquablues, J'ai changé l'ampoule hqi de 400w par une Arcadia de 400w et 14.000K. Une ampoule achetée par un aquariophile qui n'aimais pas la couleur bleu en contradiction avec les 2 autres projecteurs en 10.000K. Depuis 10 ans elle attend que je l'utilise, j'espère pour 2 ans. 

Une grande différence sur le bac, a l'avant 400w 14.000K, au milieu T5 45w X 2, a l'arrière 250w 14.000K. C'est Blanc/Bleu, d'un bel effet et d'une bonne puissance. Après 2 jours d'adaptation, mes yeux apprécient beaucoup cet éclairage de bonne qualité pour les coraux. 

Après les chaleurs d'été (6 semaines), je suis de nouveau très vigilant, moins incommodé et plus proche du bac. Les paramètres sont en bon équilibre, le corail pousse lentement et les couleurs sont belles. 

Le traitement anti planaires est sans appel, depuis 2 semaines, rien, nada, comme dirait Bubule "Atomisé" !

Le corail envahi le bac, je vais faire des boutures très délicates sur des pièces devenues grandes et belles. Si j'y pense ; je ne fais rien, donc je bouture un 4 matin sans penser. 

La Lune est une vieille sorcière                                                                                                                                                          qui voit le Monde a l'envers ! 

Photo 1 avec une 10.000K - Photo 2 avec une 14.000K 

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Il y a 3 heures, Bubule a dit :

Pour les planaires, j'applique la méthode :

Oui Franck, mais... le fil bleu avec le fil bleu...

Il y a 4 heures, pseudomonas a dit :

Photo 1 avec une 10.000K - Photo 2 avec une 14.000K

En effet Armand, le 14000°K semble rendre très très chouette 😉

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Histoire de paramètre en récifal

Je n'apprendrais rien a ceux qui pratiquent la vrai disciple récifaliste.

Les paramètres en aqua récifal sont souvent fluctuants dû a un manque de suivi, de régularité, a une inconnaissance sur le long terme. La difficulté majeur est de maintenir des écarts au minimum, de suivre en permanence la qualité d'eau. Le vivant doit être observé quotidiennement avec assiduité. Pas de précipitation inutile, voir si un problème persiste et faire le bon diagnostique (très difficile).

En 1999, avec 2 bacs de 700L hollandais, 2 bacs récifaux de 400L, je me suis retrouvé dans le dilemme simple ; comment savoir ce que je fait exactement sur chaque bac ? J'ai donc commencé a prendre des notes papiers, cela est simple et permet d'éviter des manipulations inutiles. 

A ce jour mon bac de 400L de sps, évidement je prend des notes a chaque ajout, changement d'eau et remplissage des réacteurs. Cela me permet de suivre en continue les interventions. Je n'ai pas de poisson, je nourris le corail presque tous les jours, a très petite dose, le soir ; arrêt du turnover, période éclairage bleu. 

Les photos sont le complément des notes, elles sont l'instant saisi et je peux a loisir revenir consulter tel corail a tel époque. C'est surprenant de faire le chemin d'où l'on vient. Il faut environ 3 ans pour obtenir un bel acropora, a condition que le suivi soit de qualité et stabilité.

Les tests KH et CA le matin, un jour sur deux, la salinité une fois par semaine. Les NO3 et PO4 une fois par mois, il ne sont pas visible avec les tests gouttes, donc = 0. Le reste ; je ne fait pas. 

Les probiotiques (Tridacna) deux fois par semaine, c'est très bon pour la santé du corail fragile. Les bactéries une fois par semaine avec un complément (food bak Tridacna).

Le changement d'eau, une fois par mois = 100L soit 20% du volume. Cela équilibre les sels et c'est toujours bénéfique sur un bac marin. Je n'ajoute pas d'oligos en continu, ponctuellement selon la pousse des halimeda. Des couleurs claires sur les coraux sont du plus bel effet. 

Avec la "dérive" due a la chaleur d'août, les couleurs ont légèrement foncées. Je rame pour "épurer l'eau". Après un traitement anti-planaires cela est super, pas de perte d'escargots (des centaines), pas de perte d'ophiures. Je vais changer la zéolithe (3 kg/480L) l'épuration sera meilleure, retrouver les couleurs très "brillantes et claires". 

Les photos suivantes sont la cuve d'essais en 2023 et la nouvelle cuve actuelle. On peut observer la progression du corail et le décuplement des boutures. 

 

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Quelle collection !

Ça respire la santé 😊

C’est vrai que le suivi est une chose importante. Mais y fait-on vraiment référence au fil du temps ? J’ai pour ma part l’impression que tout n’est pas si utile. Peut-être la date du dernier changement d’eau lorsque les semaines défilent plus vite qu’il ne faudrait et qu’on ne sait plus si le changement d’eau reporté pour plus important commence à être trop éloigné, et que l’on ne sait plus quand ce dernier a eu lieu.

 Voici un exemple de mes suivis :

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Dans mon cas, les dérives gravissimes sont intervenues après des pannes (pompe doseuse du Balling par exemple pour la plus grande occurrence).

Pour limiter le risque, je me suis astreint à toujours remplir les cuves à la même hauteur. Lorsque je constate un décalage de quelques centimètres entre celles-ci, c’est qu’une pompe déconne (les quantités introduites sont identiques ente les 3 solutions).

J’ai le sentiment, avec le recul, que c’est ce type d’indicateur qui est le plus ‘nécessaire’ dans notre hobby.

 

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J'ai toujours vécu une relation ou les personnes sont a l'opposé de la mienne, la réussite est d'accorder les violons et de faire sonner la douce musique récifale. 

Je ne note pas les no3, po4, salinité. juste les apports et changement d'eau, de zéo, de charbon. 

Il n'y a pas une méthode ou une pratique mais des méthodes et des pratiques. A l'arrivée, chacun peut réussir sur son cheminement. 

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Très bonne question David 

Je le dois a ce cher Bubule qui m'a taraudé la cervelle ; pour lui il faut "atomiser" ces vermines.

Il a eu le produit et m'en a envoyé deux capsules de 1 g. Le protocole est très rigoureux pour l'emploi de ce produit. Ce n'est pas du poison, les éleveurs de bétail ont font absorber a leur animaux, y compris les poules et poulets. C'est un anthelminthique ; contre les vers plats intestinaux utilisé en médecine vétérinaire.

Pour mon bac c'est particulier ; je n'est pas de poisson. Le traitement n'est pas le même, il faut prendre des précautions et lire avec rigueur le mode d'emploi. C'est très efficace pour éradiquer les planaires. 

Je n'est pas eu de perte notable, copépodes, petites ophiures, tous les sortes de petits escargots, les vers panaches, les  chapeaux pointus (coquilles).

Les planaires ont complétement disparues dès le traitement depuis le 18/9/2024

A+ Armand

 

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