Aller au contenu

Crypto refuge, épuration et réacteur à bactéries.


Bub77

Messages recommandés

J'ai regardé sur le site et trouvé peu de références aux crypto refuges. Est ce que certains d'entre vous en ont l'expérience ? Est ce réellement un plus dans le circuit de filtration d'un bac ?

 

Je me demandais également si le couplage d'un Crypto refuge et d'un réacteur à bactéries se déversant dedans pouvait être un complément intéressant à mon installation DSB + Jaubert (l'un d'entre vous l'a mentionné dans le fil du post). Je me disais qu'en faisant croitre la biomasse d'éponges, ascidies, ... cela pouvait contribuer à l'équilibre du bac.

 

Un petit sondage juste comme cela.

 

Eric

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ai toujours des PVs dans la partie amont, sombre de la cuve technique, celle ou se déverse l'eau du bac. Un mix entre décante et cryptorefuge. Après quelques années, je suis assez déçu de n'y voir que des petits vers à panache et une profusion d'arapèdes. Pas vraiment de "podes", de mysis ou de vers sur le substrat, ni sur les PV ni dans le peu de boues qui décantent.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

un petit extrait de ZM n° 4 traitant des refuges :

 

" Les refuges cryptiques

 

Les zones récifales, même les plus exposées au soleil, comportent également des endroits où la lumière pénètre peu ou pas du tout ; c’est le cas sous les surplombs, dans les grottes et sous les plateaux formés par les grands coraux constructeurs de récifs. C’est dans cette niche écologique que des animaux non-photosynthétiques, tels que des ascidies, des éponges et des mollusques filtreurs prospèrent. Ces organismes prélèvent des composés organiques dans l’environnement. C’est cette particularité que Steeve Tyree* propose d’exploiter en installant une zone cryptique dans une partie de l’aquarium. On peut transposer cette expérience à un refuge non éclairé et alimenté en eau par une dérivation de la colonne de débordement avec, comme moyen d’épuration complémentaire, des pierres vivantes colonisées par des ascidies, des tuniciers, des éponges et d’autres animaux non dépendants de la lumière. Il peut être installé dans un compartiment de la cuve technique ou à côté de celle-ci. L’efficacité d’un tel refuge est sans doute discutable dans un aquarium écumé, sans parler du temps qu’il faudra pour que les éponges le colonisent suffisamment, mais il a au moins le mérite de reproduire un biotope différent de celui de l’aquarium d’exposition, ce qui peut apporter une satisfaction à l’aquariophile.

 

* Steeve Tyree est un aquariophile expérimenté qui cultive et vend des coraux rares et recherchés, comme en témoigne la photographie de son aquarium expérimental dans "The Reef Aquarium, Volume 1" de J. Charles Delbeek et Julian Sprung (1994). Il décrit son expérience avec les zones cryptiques dans son livre : "The Environmental Gradient – Cryptic Sponge and Sea Squirt Filtration Models". En outre, il la présenta à la MACNA (Marine Aquarium Conference of North America) de 1998. Sa société Reeffarmers commercialise des kits d’ensemencement, constitués de diverses espèces d’éponges et de mollusques, mais elle n’expédie malheureusement que sur le territoire américain."

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ai toujours des PVs dans la partie amont, sombre de la cuve technique, celle ou se déverse l'eau du bac. Un mix entre décante et cryptorefuge. Après quelques années, je suis assez déçu de n'y voir que des petits vers à panache et une profusion d'arapèdes. Pas vraiment de "podes", de mysis ou de vers sur le substrat, ni sur les PV ni dans le peu de boues qui décantent.

C'est pour cela que l'idée de coupler le cryptorefuge avec un réacteur à Biopellets me parait intéressant. Il semble que les éponges / ascidies se développent même dans le tube du réacteur. L'idée n'est pas d'en avoir une dose énorme, mais juste un peu pour alimenter les filtreurs en bactério-plancton. Qu'en pensez vous ?

 

Eric

 

@Chris : je vais me replonger dans le T1 de l'aquarium récifal. Il n'y a pas grand chose sur le crypto dans le T3 et le prix du libre de S. T. :tombemur: 89$ chez Amazone et rien en occase.

 

Merci à tous

 

Eric

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Eric

 

@Chris : je vais me replonger dans le T1 de l'aquarium récifal. Il n'y a pas grand chose sur le crypto dans le T3 et le prix du libre de S. T. :tombemur: 89$ chez Amazone et rien en occase.

 

Merci à tous

 

Eric

Bonjour,

 

Eric : tu ne trouveras rien à part une image dans le tome I des tontons et la lecture à laquelle l'article fait référence est bien le livre écrit par Steeve Tyree. (suivi d'un tome II je crois)

 

http://www.amazon.com/Environmental-Gradient-Cryptic-Sponge-Filtration/dp/B000PH2286

 

d'autres renseignements :

http://web.mac.com/slaman/Aquariums/GetZoned.html

 

Et pas mal de discussions sur Reef Central en faisant une recherche avec : "Environmental Gradient Cryptic Sponge Filtration"

 

Mais quoi qu'il en soit, la seule chose qu'il faut retenir c'est qu'il suffit de faire un refuge dans le noir et à base de pierres vivantes avec une bonne circulation d'eau. Les animaux cryptiques nécessaires ont peu de chance d'être disponibles à la vente en France, l'import semble hasardeux, et autant laisse venir ce qui décidera de pousser dans ce bac. On peut favoriser les éponges lorsque on trouve une pierre déjà colonisée et l'y introduire, ainsi que d'éventuels tuniciers et mollusques non dépendants de la lumière.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bon, depuis les derniers posts, je me suis :

 

- Inscrit sur Reef Central. Il y a effectivement quelques articles, principalement une lutte entre S. Tyree et R. Shimek. A priori, ils ne s'aiment pas beaucoup :plaisante:

 

- J'ai trouvé un site de S. Tyree : http://www.dynamicecomorphology.com/

--> Le brassage de la zone cryptique doit être faible.

--> Absolument aucun éclairage.

--> A parcourir pour l'information (pas très riche, et dès que c'est intéressant, c'est payant).

--> La recommandation est d'attendre le tome 2 du livre pour se lancer, mais le tome 2 n'est pas sorti à priori

 

Bref, pas super riche. Je continue à chercher. En tout cas, rien sur l'utilisation conjointe avec un réacteur à bactéries, même s'il est clairement indiqué que le bactérioplancton fait partie des aliments de base.

 

Eric

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'avais loupé ce sujet.

 

Je me suis également intéressé à ce sujet et avais trouvé, à l'époque, sur le defun site corail-suisse.com une traduction de Reefcentral réalisée par Jéjé74.

 

De Jéjé74

C'est ma traduction donc, j'ai traduis POD par copépode, mais ça doit être plus généraliste surement.

Est-ce qu’un crypto-refuge est une bonne idée. Non. Oui. Peut-être... Cela dépend de ce que vous essayer d’obtenir et de comment il est conçu.

Je n’ai pas encore trouvé beaucoup de documentation sur ce que l’on nomme “crypto-refuge”. Pour commencer, beaucoup de gens interprète mal le but d’un refuge. Ils lancent quelques chaeto (algues) dans leur décantation, mettent une lumière en cycle opposé et appellent cela un refuge. Bientôt les poissons et invertébrés qui se comportent mal sont stockés dans cette zone « time out ».

Finalement, la plupart des gens finissent par avoir un second biotope recifal au sein de leur décante qu’ils appellent un refuge.

La définition d’un refuge est “zone de repos/refuge ». Dans le monde du recifal, cela

se traduit (le plus communément mais ce n’est pas limité à cela) une zone de refuge

pour copépode ou toute autre microfaune. Basiquement pour chacun, une

décantation dans laquelle la micro faune n’est pas mangée par des prédateurs est un

refuge. Souvent, les gens prennent avantage de cet espace en utilisant la zone pour

la pousse de l’algue pour réduire les nutriments. La croissance des macro-algues ne

fabrique pas un refuge, mais changent les conditions de vie pour la micro/macro

faune du refuge. La croissance de ces algues peuvent ou non affectée la

reproduction de la faune, cela dépend de multiples facteurs. J’ai parlé avec beaucoup

de gens qui font de l’élevage de microfaune et de la culture de micro et macro algue.

Mon point de vu est qu’il y a des conflits d’évidence et de recherche qui montrent ou

pas que des espèces variées se reproduisent bien dans un environnement avec ou

sans lumière, avec des faibles ou forts nutriments détectables comme les no3 ou

po4, avec des conditions de haut ou de bas niveau de TOC, avec telle ou telle

granulométrie de substrat (de la boue à la roche) ou qui préfèrent également les

micro ou les macroalgues…

Ce qui est connu et bien documenté, donc très clair, c’est la chaine alimentaire des

copépodes qui mangent du plancton, des micro algues et d’autres copépodes. De

toute évidence, les animaux les plus hauts dans la chaine (comme les mysis qui

mangent les copépodes) ne peuvent pas proliférer si une source acceptable de

nourriture n’est pas présente. Avec cela, bien que dans l’esprit, nous avons besoin

de démarrer en bas de la chaine alimentaire pour obtenir une croissance des

copépodes plus importante et cela est souvent l’ajout de phytoplancton d’espèces

variées et cela est plus efficace si celui-ci vivant. C’est bien connu que les espèces variées de microfaune ont besoin d’espèce variées de phytoplancton pour survivre.-

tous ne peuvent pas grandir et proliférer si ils se nourrissent que d’une seule espèce

de phyto ou bien si ils ont que du phyto mort emballés (nannochloropsis). Cela ne

veut pas dire que tu ne peux pas élever les copépodes avec seulement un type de

phyto ou du phyto mort, mais il est bien documenter que la diversité des copépodes

croît avec la diversité des espèces de phytoplancton vivant.

Avant que j’aille plus loin, il est nécessaire de voir ce que tu entends par refuge. Un

refuge éclairé ou un crypto-refuge (que je considérerai comme une zone non

éclairée ou la microfaune peut prospérer) peuvent servir tout 2 dans 2 buts précis :

1) la réduction des nutriments

2) la prolifération et la diversification de la microfaune

Décomposons chaque point individuellement et tu pourras configurer la façon dont tu

veux maximiser son efficacité.

Commençons avec le crypto-refuge orienté réduction des nutriments. Il est

largement accepté par beaucoup que de nombreuses variétés d’éponge ou d’autres

organismes non-photosynthétiques sont bonnes pour retirer les nutriments de l’eau.

Je n'ai pas encore vu la preuve d’exactement quel nutriment ces animaux retirent de

l’eau, la total efficacité de ceux-ci contre la croissance des macroalgue (pour retirer

du N ou du P) et quel déchet ou toxine sont produites malgré le processus

métaboliques de ces animaux. Donc, en somme, l’utilisation des éponges ou d’autres

organismes non-photosynthétiques pour réduire les nutriments est acceptable

théoriquement, le degré d’efficacité n’étant pas clairement définis ou n’ayant jamais

été comparé à d’autres moyens de réduction de nutriments. Je suis d’accord qu’ils

retirent les composés organiques dissous mais lesquels, combien, et est-ce bon ou

mauvais pour les coraux ???

Maintenant, regardons le crypto-refuge utilisé pour la diversification et la

prolifération de la microfaune. Je n’ai pas de recherche sur cela mais ce que j’écris

sur ce topic est basé sur des concepts simples mais peuvent être disputés selon les

perspectives. Dans cette discussion, je parle d’un crypto-refuge NON éclairé. Cela

signifie que la microfaune vivante doit être capable de « voyager » dedan et hors du

refuge pour accéder à la lumière ou être capable de survivre dans le noir. Quelques

petites microfaunes (qui sont le plus bas dans la chaîne alimentaire) se nourrissent

de bactéries, de phytoplancton varié (certaines requirent du très spécifiques

planctons vivants) et des microalgues. Ce concept basique peut conduire à un

manque de diversité dans le crypto-refuge basé sur ces bases qui nécessitent les

plus petites microfaunes. Il n’y a pas de lumière, il n’y a donc pas de microalgue. Le

plus souvent, l’aquariophile ne dose pas correctement et de donne pas de

phytoplancton vivant pour supporter la croissance de simples espèces de

microfaune. La croissance des bactéries est largement dépendante des nutriments

au sein de la colonne d’eau et peut varier d’un bac à l’autre selon le niveau de

nutriment (bien souvent, le facteur limitant dans la croissance des bactéries est une source stable de carbone organique).

Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas de la microfaune dans un crypto-refuge. La

diversité de la microfaune est beaucoup plus importante que ce que beaucoup

souhaitent accepter et donc affamer leurs habitants des récifs de la nourriture qu’ils

ont besoin pour prospérer.

Un autre aspect d’un crypto-refuge est de déterminer quoi la structure est composée

: boue ou non, sable ou non, quelle granulométrie, gravat ou simplement en utilisant

des PVs… En ce qui concerne l’utilisation d’un cryto-refuge pour la reduction des

nutriments, je suggère personnellement aucun substrat qui collectera les sédiments.

La majorité des réducteurs de nutriments dans un crypto-refuge (éponges, tuniciers,

copépodes, petites étoiles) ne sont pas dépendant du substrat et peuvent bien

prospérer simplement en vivant sur/dans les PVs. Si tu comptes utiliser le cryptorefuge

comme refuge à microfaunes diverses, je recommande d’utiliser plusieurs

granulométrie de substrat et peut être de la boue. Ce qui pourrait être idéal c’est de

la boue sur le fond, puis du sable plus gros, puis des gravats. Cela permettrait

d'imiter l'environnement que beaucoup de microfaune et de crustacés ont besoin

pour s'épanouir.

Tu gagneras de la diversité de faune mais il y a un risque potentiel que les détritus

s’infiltrent dans le substrat et pourrait relâcher des nutriments. En ce point, tu peux

analyser le ratio cout bénéfice d’avoir un substrat pour la microfaune contre le

potentiel de relâcher des nutriments non souhaitées des déchets en décomposition.

Cela n’est pas si mauvais. Le substrat accumulera des détritus cependant, la plupart

des animaux vivent dans le substrat et requièrent de minuscules particules comme

les détritus pour se nourrir. A leur tour, ils recycleront les déchets donc limitant

l’effet total sur les paramètres de l’eau. L’accumulation des déchets peut aussi bien

être combattue avec un filtre à 100μm en chaussette sur toute l’eau rentrante dans

le refuge. Cela limitera dans un certain degré l’accumulation des déchets (pas

totalement) mais limitera aussi la source d’entrée de nourriture pour la microfaune.

Egalement, si la chaussette filtrante n’est pas changée régulièrement (chaque jour / 2 jours) ils y aura trop de déchets ou d’autres particules qui se décomposeront et

relâcheront des nutriments non souhaités.

Dans un refuge éclairé. Pas vraiment un refugarium si tu as des copépodes mangés

pas des prédateurs (poisson, crabe...) à moins que le refuge soit spécifiquement

destinés à ces animaux (break ou acclimatation). Un refugarium peut être un refuge

pour peu importe ce que tu mets dedans, mais le plus souvent le destin d’un

refugarium est de devenir un refuge à microfaune. S

Pour un refuge à réduction des nutriment. Je n’ai pas de donnée montrant qu’un

crypto-refuge est plus ou moins efficace que la croissance d’algue. Le bénéfice

d’utiliser les algues est la facilité d’accès à diverses espèces qui peuvent devenir une

source de nourriture vivante pour chirurgien ou autres. Le cycle d’éclairage peut

aussi bien être utilisé contre les variations de PH pendant que l’éclairage principal du bac est éteint. Egalement, la lumière permettra aux micro-algues de grandir sur

diverses surfaces. Bien que disgracieux, ces micro-algues sont très efficace pour la

réduction des nutriments et agissent comme une source de nourriture pour la

microfaune en bas de la chaine alimentaire. La microfaune mange sur les algues, les

copépodes mangent les plus petits individus, et la diversité des copépodes

augmentent alors.

Si tu utilises un refuge éclairé pour la reproduction des copépodes, il y a des

avantages et des inconvénients. La théorie est qu’un cycle d’éclairage stimule

l’activité normale et les cycles de vie dans un refuge. Encore, j’ai lu des informations

contradictoires concernant les cycles d’éclairage et sur la reproduction des

copépodes. Mon opinion personnelle et que la croissance de la faune et sa

prolifération est affectée par le cycle lumineux. Ces effets dépendent du type de

faune, de la configuration du refuge et de plein d’autres facteurs.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un petit article plutôt pas mal pour les noctambules :

http://www.reef-eden.net/cryptic_zones.htm

 

sinon, en me promenant sur les sites parlant des tuniciers, j'ai lu un article d'un certain Dioniso :D qui parlait de la capacité de filtration de ces bébêtes. Étonnant...et cela semble confirmer qu'un refuge cryptique alimenté par un réacteur à Biopellets doit réellement pouvoir épurer le milieu. Les plus grosses difficultés semblent malgré tout être le brassage et la récupération d'une diversité d'organismes pour peupler le crypto refuge.

 

bonne lecture

 

Eric

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je ne peux plus éditer mon post précédent (limite dans le temps...) donc un nouveau pour remercier Dlteck2000. J'ai lu et relu l'article et je vais aller faire un tour sur le site en question. Le premier point important est que dans l'ensemble, toutes les méthodes ont des + et des -. L'idée que j'avais n'était pas de choisir une méthode (et c'est souvent comme cela que sont rédigés les articles : telle méthode est meilleure que telle autre), mais d'essayer de les multiplier pour en tirer les bénéfices respectifs (mais je suis peut être un bizounours :timide: ).

 

Eric

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je ne pense pas que ce soit un rêve irréalisable que d'établir un système le plus équilibré et autonome possible en additionnant des sous-ensembles complémentaires. C'est bien l'esprit des refuges et des filtres bio. Les écueils sont malheureusement nombreux entre le cout, l'espace, le temps, la maintenance, les vacances, la lassitude et le fait qu'il suffit que l'un périclite pour que l'ensemble suive, ce qui abouti finalement souvent à des systèmes inefficaces et un peu stériles. Quand on peut régulièrement collecter quelques souches dans le milieu marin, c'est un réel avantage.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonjour.

 

Denisio,quand tu dit collecter des souches ,tu veu dire prendre un petite PV de temp en temp ou parle tu de l'eau de mer ?

 

Les 2 doivent avoir leur effet,moi j'ai pu faire quelque ajout d'eau de mer fraîche et j'ai jamais eu autant de micro faune et autant de diversité qu'à ce moment la.

 

Juste quelques litres par semaine verse dans le refuge,je pense que se serai très bien !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Hello,

 

pour l'eau de mer fraiche, j'ai beau habiter en Ile de France, ya pas d'eau autours :mdr5:

 

Sinon, par contre, les Pierres vivantes sont une solution, les collègues qui ont des récifaux et des refuges... une autre :timide:

 

Bonne soirée

 

Eric

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je vien de réfléchir ,il n'y a pas la mer à montauban,donc dénisio parlez bien d'une pv fraîche de temp en temp...( enfin je pense car d'un coup de voiture la mer et l'océan sont accessible de montauban )

 

Pour ce qui le peuve ,un peu d'eau mer naturelle ,verse dans le refuge ,c'est un gros plus,avec les beau jour je vais le faire ,je vous tiendrais au courant.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×
×
  • Créer...

Information importante

En poursuivant votre navigation, vous acceptez l’utilisation des cookies pour vous proposer des contenus adaptés à vos centres d’intérêt et réaliser des mesures pour améliorer votre expérience sur le site. Pour en savoir plus et gérer vos paramètres, cliquez ici