Aller au contenu

Je perds tout SPS, LPS [chaleur]


razek

Messages recommandés

salu a tous

 

voila depuis 1 semaine je perd tous mes coraux en particulier mes sps ,les lps pour certain tres bien et d autre comme le fungia a bien morflé et le catalaphyllia ne s ouvre plus

je pensé que ça venais de mon écumeur qui suivait pas mais bon j ai fait mes test et voici les résultats

 

no3>10mg/l

po4>0.003mg/l (je trouve ca bizarre mais j ai refait le test 3 fois)

ph>8

ca>500mg/l

mg>1550mg/l

si>0

température >25 et 26°

et densité >1024 a 35mg/l

 

merci a vous pour votre aide

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut,

 

On ne sait rien de ta population, du bac, du matos et des modifs faites sur les moins précédent...

 

Seuls constats rapide :

 

CA et MG semblent excessifs

PH de 8 mais à quelle heure, fin de journée ou avant allumage des sources lumineuses ?

 

Température :

Il a fait très chaud.

Es-tu sûr de ne pas avoir frôlé les 30°c dans la journée ?

 

No3/po4 : bizarre effectivement. Résine ?

 

Sinon pas de produit dans la maison ?

...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

On ne sait rien de ta population, du bac, du matos et des modifs faites sur les moins précédent...

Température :

Il a fait très chaud.

Es-tu sûr de ne pas avoir frôlé les 30°c dans la journée ?

http://www.cap-recifal.com/topic-2627-bon-bac-et-sa-populations

S'il s'agit bien des conséquences d'un "coup de chaud", tu peux essayer de réduire drastiquement la photopériode pendant quelques jours (trois ou quatre, le temps de voir s'il y a un mieux), par exemple en éclairant plus que quatre heures par jour.

Nourris les poissons au minimum plutôt avec des surgelés, cesse toute supplémentation (en priorité "les aliments" pour les coraux). Réduit aussi les apports en Ca et Mg qui sont déjà en excès et (ou) ne sont plus "consommés".

Retire tout ce qui est nécrosé (même si le moment n'est pas au bouturage)...

Bon courage ;)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

ok merci a tous

pour le matos j ai un écumeur aquavie ps900, un filtre a fluidiser avec de la résine anti phosphate ,un bac de presque 400l et une decante de 150l + un refuge de 60l

éclairage j ai une rampe 6x 54w

 

bon j ai écouté vos conseille et j ai coupé toute les partie blanche sur ce qui resté pas grand chose malheureusement

 

le pire c est que ca a commencer a mourir quand la température est redescendu

 

donc pour mes paramètre vous les trouver normaux?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Lent ou rapide, il y a une limite à tout.

 

L'excès n'est pas bon.

Il y a 2-3 ans, certaines parties de récif ont trépassé en raison de la chaleur.

C'était catastrophique et comme tout sujet d'actualité on traite sur le coup, le scoop, puis on passe à autre chose et on oublie...

:timide:

 

Pour la chaleur, à 28°c, c'est déjà plus que limite (constat Aquarium récifal V3)

Avoir un groupe de froid bien dimensionné n'est pas une option ou un luxe.

A l'image d'une source de courant complémentaire lorsque le secteur est en rade, situation plus délicate voir impossible en appartement sauf pour les pompes de brassage et bulleurs en 12-24v ou sur piles).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Hello,

as tu fait ce qu'a conseillé Dompail ? Baisse de la photopériode notamment ! Par ailleurs n'hésite pas a déplacer les pièces atteinte et à les mettre dans un endroit bien brassé (pas trop pour les LPS) et à l'ombre !

Lorsque tu coupe/bouture fait bien attention de ne pas confondre nécrose et blanchissement (il doit y avoir des photo que j'ai misent dans un post mais je ne sais plus lequel pour bien faire la différence). Nécrose, le squelette est a nu, cette partie de l'animal est morte. Blanchissement, les tissus sont intact mais ne contiennent plus de zooxanthelle, le corail est blanc car les tissus étant transparent on vois le squelette blanc au travers, ce cas est très largement récupérable.

 

Concernant la température quelques données en vrac:

- les LPS sont généralement plus tolérant que les SPS aux fortes températures (les plus sensible étant les acroporidae et pocilloporidae)

- Dans la plus part des cas ça commence a craindre sérieusement aux alentour de 30°C

- A 31°C la plupart des coraux ont les polypes fermé

- Si l'exposition à 30-31°C n'est que de courte durée (quelques h a 1 jours) quelque blanchissement sont possible mais normalement c'est largement récupérable

- Redescendre la température le plus vite possible à 28°C (pas plus bas) est un gage de survie pour les coraux

- Dans le cas d'un bac équilibrer l'ajout d'AA voir de nauplii d'artemia (mais en grande quantité) après un blanchissement est un plus non négligeable

- Faire "subir" des petites montée en température de temps en temps au coraux (29°c-29,5°C) sur quelques heures les rends plus résistant aux forte température (je le fait systématiquement au printemps quant ça commence à chauffer, en plus ça déclenche les pontes d'escargo...))

- Il n'y a rien de pire qu'un bac toute l'année à la même température, d'autant plus quant elle est basse... le jours ou ça va monter c'est la cata quasiment assuré

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Hello,

as tu fait ce qu'a conseillé Dompail ? Baisse de la photopériode notamment ! Par ailleurs n'hésite pas a déplacer les pièces atteinte et à les mettre dans un endroit bien brassé (pas trop pour les LPS) et à l'ombre !

Lorsque tu coupe/bouture fait bien attention de ne pas confondre nécrose et blanchissement (il doit y avoir des photo que j'ai misent dans un post mais je ne sais plus lequel pour bien faire la différence). Nécrose, le squelette est a nu, cette partie de l'animal est morte. Blanchissement, les tissus sont intact mais ne contiennent plus de zooxanthelle, le corail est blanc car les tissus étant transparent on vois le squelette blanc au travers, ce cas est très largement récupérable.

 

Concernant la température quelques données en vrac:

- les LPS sont généralement plus tolérant que les SPS aux fortes températures (les plus sensible étant les acroporidae et pocilloporidae)

- Dans la plus part des cas ça commence a craindre sérieusement aux alentour de 30°C

- A 31°C la plupart des coraux ont les polypes fermé

- Si l'exposition à 30-31°C n'est que de courte durée (quelques h a 1 jours) quelque blanchissement sont possible mais normalement c'est largement récupérable

- Redescendre la température le plus vite possible à 28°C (pas plus bas) est un gage de survie pour les coraux

- Dans le cas d'un bac équilibrer l'ajout d'AA voir de nauplii d'artemia (mais en grande quantité) après un blanchissement est un plus non négligeable

- Faire "subir" des petites montée en température de temps en temps au coraux (29°c-29,5°C) sur quelques heures les rends plus résistant aux forte température (je le fait systématiquement au printemps quant ça commence à chauffer, en plus ça déclenche les pontes d'escargo...))

- Il n'y a rien de pire qu'un bac toute l'année à la même température, d'autant plus quant elle est basse... le jours ou ça va monter c'est la cata quasiment assuré

Super intéressent :merci:

Je comprend mieux pourquoi mon accro est mort une foie la vague de chaleur fini. Et le pire c'est que ça ce trouve il aurait pue repartir, mais je l'ai bêtement retiré du bac quand il était devenu tout blanc.

Ma situation été celle-ci: 3jour à 29-30°c. Le lendemain 25°c, moitié de la bouture blanche (à la base), puis le lendemain tout blanc.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Dans la nature, hormis pour les coraux proche de la surface, les températures sont relativement stables.

Le modèle à prendre est-il la nature ou un modèle qui n'a rien à voir genre petit apprenti chimiste ou, comment justifier les dérives ? :sablier:

 

Responsable mais pas coupable...

Relativement stable sur quel échelle de temps, car relativement stable ne veux rien dire sans échelle ce n'est pas a toi que je vais l'apprendre.

 

Le modèle à prendre est celui qui fait en sorte que tes animaux ne crève pas à la première dérive, il arrive un moment ou tout parier sur le matos arrive à ses limites car comme pour tout il arrivera un jours ou un grain de sable dans les rouages feront dérailler n'importe quelles belles prévisions de n'importe quel ingénieur. Dans de tel condition il est bien plus malin de pouvoir alors ce reposer sur la biologie et non plus sur la physique.

 

Quant au "petit apprenti chimiste" je ne vois pas trop ce que tu veux dire :D

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Dans la nature, hormis pour les coraux proche de la surface, les températures sont relativement stables.

Dans les lagons oui, mais pas sur les pentes externes des grandes barrières qui subissent les phénomènes combinés de marée, vent et upwelling. Les variations peuvent dépasser dans ces conditions les 5°C en une journée (voir par exemple http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0278434399000047)

 

Le modèle à prendre est-il la nature ou un modèle qui n'a rien à voir genre petit apprenti chimiste ou, comment justifier les dérives ?

Trevaly propose juste d'imposer de petits stress pour lutter contre un plus grand. C'est un grand classique en biologie : tous les organismes sont dotés de systèmes destinés à répondre au stress. Ce sont ces systèmes qui leur permettent de lutter contre les variations des conditions environnementales. Pour fonctionner de façon optimale, ils ont besoin d'être stimulés régulièrement.
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

100% d'accord avec nos biologistes.

Pour nos bacs, en dehors des impondérables, on le voit bien lors des déménagements de bacs ou les réfections complètes :

les merdico-foutraques ont moins de problèmes que les parano-maniaques.

Maintenant, dans la maintenance d'un bac sur le long terme, la deuxième catégorie de malades reste avantagée par rapport à la première.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

100% d'accord avec nos biologistes.

Pour nos bacs, en dehors des impondérables, on le voit bien lors des déménagements de bacs ou les réfections complètes :

les merdico-foutraques ont moins de problèmes que les parano-maniaques.

Maintenant, dans la maintenance d'un bac sur le long terme, la deuxième catégorie de malades reste avantagée par rapport à la première.

en gros il faut donc être merdico-maniaque ou parano-foutraque, autrement dis savoir gérer avec justesse est connaissance la variabilité (terme plus juste qu'instabilité dans le cas qui nous intéresse).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Excellent diagnostic doc. ;)

M'est d'avis que l'on devrais ouvrir un post juste sur l'aspect psychologique de notre hobby.

Volonté de controle, caractère obsessionnel, maniaque ou parano, effet anxiolytique, rituel, besoin de reconnaissance a travers les forums et présentation de bac etc....

 

Un cercle de parole ou le but serais le sevrage, façon aquariophile anonyme :mdr3:

"Bonjour je m'appelle jean yves aquariophile depuis 5ans"

"Bonjour jean yves"

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ok, très intéressant tout cela.

Toutefois les variations nous les avons tous via la mise en route de l'éclairage HQI, tubes.

La montée en température est là, progressive et contenue.

 

Par contre atteindre du 28-30° volontairement, je ne suis pas encore près. ;)

Là on parle de volonté, de maitrise.

 

Avoir un bac à mini 28°-30° en continu pendant une semaine, voir plus, de forte chaleur par exemple, on subit, qu'en sera t-il du résultat en ayant préalablement stressé les hôtes ? moindre perte ? moindre échec ?

 

C'est effectivement un plus par rapport à un plantage complet lié à des conditions externes exceptionnelles.

 

L'anticipation est bonne, sans aucun doute, mais elle est voulue dans ce cas.

On est prêt à réagir puisque initiateur de la situation.

 

Pas grand chose à voir avec une action subie.

On se doit un minimum de réflexion et d'investissement de précaution lorsque du vivant est à maintenir en vie. :timide:

C'est trop con de tout planter par insouciance.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

en gros il faut donc être merdico-maniaque ou parano-foutraque, autrement dis savoir gérer avec justesse est connaissance la variabilité

Le danger c'est la rigidité, rien n'est fixe ou définitif dans le vivant. Mobilis in mobile dirait Nemo.

Bonjour,

 

Mobilis in mobile, tu est sur que c'est Jules Verne via Némo qui disait ça??

Mince alors, j'aurais parié que c'était "L'Affaire Louis' Trio"

Bon bein tans pis alors !!! :mdr4:

Un ti extrait quant même.

 

J'irais voir tôt ou tard, si les sirènes exsistent.....

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ou alors comment un individu, voir un groupe d'individus, se donne les moyens de mettre un bout d'océan en boîte. C'est à dire contrôler, manipuler une, des formes de vie, puisse se sentir à l'aise avec l'idée d'accompagner, soutenir, avoir la mobilité de s'adapter à ce dont il a pris la responsabilité ?

 

M'enfin est-ce possible de mettre ensemble le besoin de contrôler, de posséder des bouts de vie, avec comme il est suggéré plus haut, de ne pas être trop rigide dans une approche pour la maintenance ? Ceci ne va-t-il pas à l'encontre de la démarche de base ?

 

Est-ce que les aquario récifaux ne sont-ils pas les moins bien placés pour faire de la maintenance, voir en parler ? :mdr5: :mdr5: :mdr5:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×
×
  • Créer...

Information importante

En poursuivant votre navigation, vous acceptez l’utilisation des cookies pour vous proposer des contenus adaptés à vos centres d’intérêt et réaliser des mesures pour améliorer votre expérience sur le site. Pour en savoir plus et gérer vos paramètres, cliquez ici