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RAB pourquoi ça marche ou ne marche pas


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Ok des vendeurs pour flatter un produit , pour réduire les nitrates et phosphates dise que les résines sur le long terme réduise l'activité des bonne bactéries.

marketing ou pas .

Effectivement. Dans un contexte commercial, Il suffit de lire les étiquettes de n'importe quel additif, pratiquement tout produit agit (en bien ou en mal selon ce qu'on veut vendre) sur les PO4/NO3 (c'est très racoleur ça PO4/NO !3). Ce qui potentiellement est rarement faux sauf qu'on en perçoit rarement les effets.

 

Quand on évoque la notion de "bonne bactérie", mon attention s'aiguise toujours en pensant que la science a fait un pas et que nous allons enfin pouvoir agir de manière plus ciblée et plus efficace avec nos systèmes bio de maintenance. Et puis l'enthousiasme retombe très vite quand il s'agit d'avoir des précisions. C'est ce que j'ai vécu récemment en testant un nouvel (c'était écrit "nouveau" sur la notice), assemblage de bactéries "spéciales PO4" qui devaient faire baisser mon taux sous 10 jours. J'ai fini les gélules depuis 3 mois et ... rien !

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C'est ce que j'ai vécu récemment en testant un nouvel (c'était écrit "nouveau" sur la notice), assemblage de bactéries "spéciales PO4" qui devaient faire baisser mon taux sous 10 jours. J'ai fini les gélules depuis 3 mois et ... rien !

Mais... mais il ne fallait pas les avaler ! C'est pour cela que cela n'a pas eu d'effet...

 

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Ok des vendeurs pour flatter un produit , pour réduire les nitrates et phosphates dise que les résines sur le long terme réduise l'activité des bonne bactéries.

marketing ou pas .

Effectivement. Dans un contexte commercial, Il suffit de lire les étiquettes de n'importe quel additif, pratiquement tout produit agit (en bien ou en mal selon ce qu'on veut vendre) sur les PO4/NO3 (c'est très racoleur ça PO4/NO !3). Ce qui potentiellement est rarement faux sauf qu'on en perçoit rarement les effets.

 

Quand on évoque la notion de "bonne bactérie", mon attention s'aiguise toujours en pensant que la science a fait un pas et que nous allons enfin pouvoir agir de manière plus ciblée et plus efficace avec nos systèmes bio de maintenance. Et puis l'enthousiasme retombe très vite quand il s'agit d'avoir des précisions. C'est ce que j'ai vécu récemment en testant un nouvel (c'était écrit "nouveau" sur la notice), assemblage de bactéries "spéciales PO4" qui devaient faire baisser mon taux sous 10 jours. J'ai fini les gélules depuis 3 mois et ... rien !

j avais cru lire dans un post que tes taux de PO4 étaient deja tres bas :plaisante: alors il est sur que tes bacteries musclées sont mortes de faim..... :plaisante:

@++

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j avais cru lire dans un post que tes taux de PO4 étaient deja tres bas :plaisante: alors il est sur que tes bacteries musclées sont mortes de faim...

Quand j'ai fais le test j'étais quand même à 0.15 mg/l, elles avaient de quoi grignoter et puis elles étaient censées être très musclées. J'aurais dû constater une amélioration, même légère. Au contraire le taux a continué d'augmenter.

 

 

J'aurais dû faire comme a proposé Florian, j'aurais peut-être senti des effets :malade:

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Je ne connais pas Alain mais ça m'étonnerait bien qu'il dise qu'un RAB s'utilise sans écumeur ou puisse même le remplacer.

Je crois bien que c'est une des toutes premières questions que j'ai dû poser à Alain lorsque j'ai vu fonctionner un de ses premiers prototypes de RAB, il y a sept ou huit ans chez Bachir, des mois ou des années avant de l'interviewer.

La réponse a bien sûr été négative et il m'a rappelé qu'il ne fallait surtout pas négliger une autre importante fonction d'un écumeur qui consiste à oxygéner l'eau... Bien sûr, on pourrait aussi apporter de l'O2 par d'autres moyens mais alors pourquoi se priver de la fonction épuratrice d'un écumeur ?

D'autre part et à preuve du contraire, il semblerait qu'un RAB à bactéries aérobies soit par essence un fort consommateur d'oxygène ?!

L'autre question clé était de savoir si un RAB pourrait nous permettre à moyen terme de maintenir une plus forte densité de poisson... Et cette question fait toujours débat. En théorie oui, en pratique je reste réservé.

Réservé parce que, faute de pouvoir définir un "protocole universel" (tellement de paramètres fluctuants entrent en ligne de compte), la maitrise des risques demande une grande expérience du récifal, un grand sens de l'observation et de sérieuses connaissances en biologie.

Peut-on affirmer aujourd'hui que la majorité des utilisateurs potentiels de RAB entrent dans cette catégorie ? Je ne le crois pas...

En attendant, faute de remplir tous ces critères, le plus raisonnable serait de connecter un RAB à la seule condition d'inviter Alain chez vous un an ou deux :D

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j avais cru lire dans un post que tes taux de PO4 étaient deja tres bas :plaisante: alors il est sur que tes bacteries musclées sont mortes de faim...

Quand j'ai fais le test j'étais quand même à 0.15 mg/l, elles avaient de quoi grignoter et puis elles étaient censées être très musclées. J'aurais dû constater une amélioration, même légère. Au contraire le taux a continué d'augmenter.

 

 

J'aurais dû faire comme a proposé Florian, j'aurais peut-être senti des effets :malade:

ou bien remettre un rab en marche :horreur:

non plus serieusement j avais cru comprendre au debut du post que chez toi le Rab n avait pas marché car tes constantes etaient parfaites,(PO4 tres bas) je vois que meme les meilleurs peuvent avoir des soucis de dérive et qu il nous faut toujours etre vigilant apres faire chuter durablement les PO4 represente un vaste challenge(,si on a des poipois pollueurs,) , je n ai pas l experience des solutions liquides , Alain Ben sur un autre forum preconisait un produit de bassin JBL couplé à un bon écumeur, mais ce type de produit peut aussi faire chuter brutalement le Ca++,et cela peut etre aussi dangeureux pour nos pensionnaires ,qui n apprécient pas les modifications brutales des parametres, pour ma part je tourne avec un petit Rab sur charbon à la sortie du quel j ai ajouté dans un filtre fluidisé des resines anti Po4, le tout associé au redsea No3PO4 actuellement à 20ml/j sur pompe doseuses et des changements d eau mensuels de 160L, cela me permet d avoir mes PO4 qui fluctuent entre 0.03 et 0.1 au checker hannah.le rajout des resines ayant ete motivé par une remontée des po4 à 0.1.

Je reste persuadé que le Rab au charbon peut apporter pour les aquariums de gros volume une solution , mais le pilotage automatique n existant pas en recifal il faut surveiller son bac et ses constantes pour modifier les apports de solutions nourrissantes et les quantités eventuelles de resines anti Po4.

Certains recourent à la paille de fer d autres aux clous dans les ecumeurs, d autres aux solutions liquides, d autres aux resines d autres aux rab charbon biopellet et j en oublie, , quand pour arriver à un resultat il ya beaucoup de techniques c est qu elles se valent toutes et qu il faut utiliser celle que l on maitrise le mieux en sachant que rien n est acquis, et qu un bon écumeur nous apportera son soutien si sa pompe ne fait pas défaut :timide:

@+++

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L'autre question clé était de savoir si un RAB pourrait nous permettre à moyen terme de maintenir une plus forte densité de poisson... Et cette question fait toujours débat. En théorie oui, en pratique je reste réservé.

C'est marrant à la même question je répondrais "En théorie non, en pratique je reste réservé"... enfin cela pour une plus forte densité de poisson dans un bac récifal. Pour un FO, le RAB serait certainement utile comme dénitrateur.

 

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Et en rajoutant aussi un DSB !!

 

Il y a un aspect qu'on ne développe peut-être pas assez quand on vise un bac pérenne (terme à la mode) : quand le bac est au top, certains commencent à s'em... devant et le combat se limite à rester au top, sans changement majeur dans le bac. Et c'est malgré tout le début de la descente. Les plus sérieux, les plus raisonnables, les plus pointus auront de beaux bacs 1 à 2 dizaines d'années, mais finalement, ce n'est pas forcément ce que veulent les foutraques.

On peut donc comprendre que certains veulent mettre le turbo et augmenter les bars (ce sera mon mauvais jeu de mots de la journée). Ensuite, il faut rester dans les clous, on maintient des animaux vivants.

Merci de ne pas taper !

 

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On peut donc comprendre que certains veulent mettre le turbo et augmenter les bars (ce sera mon mauvais jeu de mots de la journée). Ensuite, il faut rester dans les clous, on maintient des animaux vivants.

Merci de ne pas taper !

Tu as tout à fait raison. Il existe autant de bacs que d'aquariophiles. Pour rester dans l'analogie automobile, le bac ultraclean plein à craqué de sps full color c'est l'équivalent de la ferrari. C'est pour la passion et la photo. Mais c'est pas forcément facile à gérer et d'un coût certain. Ne parlons même pas de la durabilité. On peut aussi se faire plaisir avec plus de poissons, de beaux lps et un peu de filamenteuses et sans que cela devienne une corvée.

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L'autre question clé était de savoir si un RAB pourrait nous permettre à moyen terme de maintenir une plus forte densité de poisson... Et cette question fait toujours débat. En théorie oui, en pratique je reste réservé.

C'est marrant à la même question je répondrais "En théorie non, en pratique je reste réservé"... enfin cela pour une plus forte densité de poisson dans un bac récifal. Pour un FO, le RAB serait certainement utile comme dénitrateur.
J'ai un peu l'impression d'ergoter mais j'ai pu vérifier que tu ne manquais pas, lors de ces séances d'ergotages, de nous délivrer des explications qui nous permettent souvent de progresser ;)

Je ne vois pas ce qui s'oppose, en théorie, au fait qu'un RAB puisse gérer un surcroît de pollutions azotée et phosphorée puisque c'est bien sa fonction première.

Par contre, c'est bien en pratique que j'ai l'impression que le bât blesse tant il faudrait aussi intervenir sur quantités d'autres paramètres pour tenter de maintenir un équilibre... Comme accroitre ou en tout cas améliorer le brassage des coraux, être encore plus vigilant et attentif quant à la lumière, idem pour l'alimentation des poissons, entretenir un densité de microfaune importante tant en quantité qu'en diversité, etc, etc, la liste est longue. Peut-être trop longue, à mon sens, justement...

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Je ne vois pas ce qui s'oppose, en théorie, au fait qu'un RAB puisse gérer un surcroît de pollutions azotée et phosphorée puisque c'est bien sa fonction première.

Oui mais il ne fait pas que cela. Plus de poissons ce n'est pas seulement plus de nitrates et de phosphates mais plus d'acides organiques et autres polluants. Et les bactéries elles-mêmes du RAB vont générer plus de polluants (produits finaux qu'elles sont incapables d'utiliser, difficile à définir exactement mais qui se visualise facilement sous forme de boues et de sédiments pour la partie non soluble). Elles vont aussi consommer des éléments chimiques de l'eau. Très difficile de faire un bilan qualitatif et quantitatif mais ce qui est sur c'est que ce bilan va vers une déviation des conditions initiales "idéales". Et plus il y aura de poissons et de bactéries et plus la déviation/déséquilibre sera forte. Il faudra au minimum plus de changements d'eau et plus d'écumage. Le RAB tout seul ne résout donc qu'un seul des aspects de la surpopulation piscicole (NO3/PO4) et dans ce contexte pose de nouveaux problèmes en particulier pour un bac récifal.

 

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L'autre question clé était de savoir si un RAB pourrait nous permettre à moyen terme de maintenir une plus forte densité de poisson... Et cette question fait toujours débat. En théorie oui, en pratique je reste réservé.

C'est marrant à la même question je répondrais "En théorie non, en pratique je reste réservé"... enfin cela pour une plus forte densité de poisson dans un bac récifal. Pour un FO, le RAB serait certainement utile comme dénitrateur.

 

N'y a-t-il pas une co-construction, une interrelation entre les moyens de la maintenance donnés et le peuplement, soit un équilibre à trouver ?

 

Aquarium "léger", maintenance légère, Aquarium "chargé", maintenance chargée ?

Un choix ?

 

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Ou pas. Quand ça part en vrille on n'a plus le choix, faut agir !!! Prudence est mère de sureté.

 

La prudence est mère de vertus aussi, comme la maintenance préventive en lien avec les exigences des hôtes hébergés. La question d’ajouter un RAB afin de doper la capacité d’épuration d’un bac c’est augmenter d’un cran la complexité de la maintenance de base pour un aquarium. Ceci afin de pousser un bac à moins se charger d’éléments, qui sont sommes toutes, sont des polluants en comparaison avec le milieu de référence. Une question de choix bien sûr, afin de s’approcher d’une zone d’équilibre entre les moyens de la maintenance mis à disposition, et les besoins reconnus et adaptés d’un écosystème. L’équilibre à trouver est sujet, une notion, d’instabilité par définition.

 

Depuis que je bricole de la maintenance, avec un RAB entres autres, je n’ai eu que rarement de longues périodes de grâce et félicité. Mes références subjectives étant une bonne croissance des coraux, des couleurs pas trop brunes, ni pastelles, et de joyeux polypes ouverts au vent des courants maritimes pour les acroporas. Aussi pas trop emmerdés par des parasites… ;-)

Ces belles périodes sont évidemment ponctuées de déséquilibres tendant vers l’assombrissement de certains coraux, ou un éclaircissement indiquant une trop grande oligotrophie momentanée ou, et le manque d’un élément. L’idée est plus d’accompagner le changement observé vers des valeurs de référence, fixées le plus souvent par soi, que d’intervenir massivement dans un sens ou dans l’autre, tel l’équilibriste puisse se servir du balancier sur son fil. Effectivement trop d’un côté, trop de l’autre au point que des mouvements chaotiques soient moins récupérables précipitant l’équilibriste avec son balancier dans le vide. Agir oui, en commençant lentement pour aller vite afin d’éviter la vrille… !

 

Dans le fond il s’agit avant tout d’éviter un crash par une anticipation des interventions aussi (prévention), les traitements curatifs, voir palliatifs, étant la forme la plus lourde des interventions. Même si dans une logique de soins palliatifs la possibilité d’aller mieux n’est pas vécue comme un échec thérapeutique pour les soignants. Alors quoi penser ? ;-)

 

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Dans le fond il s’agit avant tout d’éviter un crash par une anticipation des interventions aussi (prévention), les traitements curatifs, voir palliatifs, étant la forme la plus lourde des interventions. Même si dans une logique de soins palliatifs la possibilité d’aller mieux n’est pas vécue comme un échec thérapeutique pour les soignants. Alors quoi penser ? ;-)

Comme souvent on fait ce qu'on peut, pas ce qu'on veut... on accompagne plutôt qu'on dirige. En être conscient, c'est déjà la moitié d'efforts en moins.

 

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  • 2 mois plus tard...

une discussion faite ce matin avec un biologiste (recifaliste depuis 20 ans) me fait relancer le post.

 

Il m expliquait pour faire court que le recours au charbon en recifal et pour les Rab en particulier etait deconseillé, car au bout du compte le charbon finira par relarguer des substances néfastes, il preconisait pour les Rab d utiliser de la zeolithe;

Alors vos avis?

 

@++

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je discutais avec un biologiste ce matin , qui remettait en cause le bienfondé du recours au charbon dans les Rab arguant qu au bout d un certain temps le charbon fini par relarguer des toxines, il conseillait de recourir à de la zéolite .

Votre avis ?

Tout support finira à un moment ou à un autre par arriver à saturation, y compris une zéolithe...

L'intérêt du charbon actif est d'offrir une bien plus grande surface de colonisation pour les bactéries. D'ailleurs, personne n'a jamais dit que le charbon actif est éternel et qu'il ne fallait pas veiller à le remplacer (progressivement).

Je suis d'ailleurs surpris qu'un biologiste fasse cette remarque (sauf s'il vend lui-aussi des produits destinés à l'aquariophilie récifale :D ).

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Malheureusement quand je lui ai demandé de la zeolithe il n en vendait pas :mdr5: (histoire vrai)

 

plus sérieusement au bout de 18 mois j ai totalement remis à zero mon Rab (800ml de charbon, pour mon 1000l), la premiere constatation a ete une eau plus limpide la 2 eme mes NO3 sont passés de 5 à environ 3 (ils étaient stables à 5 depuis qqs semaines)

 

en fait j avais de plus en plus qqs petits fragments de charbon au fond de la décante et j avais constaté moins de micro faune dans mon Rab; lors de sa premiere mise en route j avais vu apparaitre au bout de qqs semaines sur les parois internes du Rab pleins de petites eponges et coquillages divers, et apres une periode florissante leurs populations avait regréssé, d où ma remise à zero.

 

je suis tout à fait d accord avec toi sur la saturation des supports, mais comme support de Rab entre charbon et zeolithe que choisirais tu ? :sablier:

j envisageais dans le futur de renouveller mon support tous les 6 mois ; (bétise ou nécéssité?)

 

je me pose la question de l opportunitée d arreter sur qqs semaines la distribution de NO3PO4- et en parrallele le Rab , pour eviter une accoutumance du milieu et un eventuel crasch, comme on a pu le voir avec la méthode vodka,?

 

ouf j espere que les réponses vont fuser.

@++

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je suis tout à fait d accord avec toi sur la saturation des supports, mais comme support de Rab entre charbon et zeolithe que choisirais tu ? :sablier:

En fait, je n'ai jamais eu besoin d'utiliser un RAB et la seule fois où j'ai cru bon d'utiliser du charbon pour éclaircir mon eau, j'ai failli tuer deux SPS :timide:

Admettons donc que mon expérience des RAB est purement théorique...

Mais à choisir, en terme d'efficacité, j'opterais pour le charbon actif.

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je suis tout à fait d accord avec toi sur la saturation des supports, mais comme support de Rab entre charbon et zeolithe que choisirais tu ? :sablier:

En fait, je n'ai jamais eu besoin d'utiliser un RAB et la seule fois où j'ai cru bon d'utiliser du charbon pour éclaircir mon eau, j'ai failli tuer deux SPS :timide:

Admettons donc que mon expérience des RAB est purement théorique...

Mais à choisir, en terme d'efficacité, j'opterais pour le charbon actif.

Oui mais la théorie est la base de toute application. ;)

 

Que c est il passé pour tes 2 SPS , lors de l utilisation du charbon?

Merci

@++

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Que c est il passé pour tes 2 SPS , lors de l utilisation du charbon?

C'était intégralement de ma faute et je n'avais finalement aucune (bonne) raison d'utiliser du charbon à ce moment-là :

http://www.cap-recifal.com/topic-121-charbon-de-bois?page=4

Merci pour le lien j ai profité du post :zaime:

une question concernant le charbon que tu avais utilisé à l époque, avant sa mise en service l avais tu rincé et laisser tremper dans de l eau de ton bac?

 

@++

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