Aller au contenu

RAH et eau de chaux


Messages recommandés

Pour faire simple Hervé, tu peu aussi tout bonnement utiliser la solution illustrée avec l'animation 3

Dans ce cas, le volume d'eau de chaux ajouté est toujours le même.

qui ne se serait pas douté qu'Hervé se saisirait de l'occasion pour nous proposer une "amélioration" à sa façon : un petit peu de programmation d'arduino ou équivalent, un petit peu de soudure pour un relai peut être, et quelques beaux schémas (au pluriel, je prévois la suite)

Ce que je propose est aussi simple que le dernier schéma de l'article où il y a 2 pompes, une commandée par l'osmolateur, l'autre par le pH via un "ordinateur".

Dans la solution que je propose, il y a aussi 2 pompes, toutes deux commandées par l'osmolateur, le pH décidant laquelle des 2 est activée.

Ceci peut très facilement être programmé avec un Aquatronica et probablement par un IKS, rien de plus à prévoir que sur le schéma de Chris, seul le câblage est différent.

Je ne vais pas en faire un plat, c'est juste une suggestion.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 155
  • Created
  • Dernière réponse

Pour faire simple Hervé, tu peu aussi tout bonnement utiliser la solution illustrée avec l'animation 3

Dans ce cas, le volume d'eau de chaux ajouté est toujours le même.

qui ne se serait pas douté qu'Hervé se saisirait de l'occasion pour nous proposer une "amélioration" à sa façon : un petit peu de programmation d'arduino ou équivalent, un petit peu de soudure pour un relai peut être, et quelques beaux schémas (au pluriel, je prévois la suite)

Ce que je propose est aussi simple que le dernier schéma de l'article où il y a 2 pompes, une commandée par l'osmolateur, l'autre par le pH via un "ordinateur".

Dans la solution que je propose, il y a aussi 2 pompes, toutes deux commandées par l'osmolateur, le pH décidant laquelle des 2 est activée.

Ceci peut très facilement être programmé avec un Aquatronica et probablement par un IKS, rien de plus à prévoir que sur le schéma de Chris, seul le câblage est différent.

Je ne vais pas en faire un plat, c'est juste une suggestion.

 

C'est toi qui a raison

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour faire simple Hervé, tu peu aussi tout bonnement utiliser la solution illustrée avec l'animation 3

Dans ce cas, le volume d'eau de chaux ajouté est toujours le même.
Oui, c'est pour cela que c'est simple :

tu ajuste pendant les premiers jour la qté qui convient au bac, limitant bien la baisse nocturne du PH et pis c'est fait :)

Après tu laisse vivre.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il est vrai que l'injection puisse dépasser l'évaporation du bac, quels en seraient les inconvénients Christian ?

Surtout avec l'arrivage des nouveaux éclairages led ou l'évaporation est beaucoup plus faible qu avec les hqi

Il est certain qu’un bac qui chauffe moins évapore moins, ce qui n’est pas un avantage pour l’utilisation de l’eau de chaux.

 

J’aimerais rappeler que je parle d’injection dont le volume est contrôlé. Par « contrôlé », il faut comprendre qu’il est forcément inférieur ou égal à l’évaporation journalière. C’est une méthode d’ajustement de ce que peut donner un RAH en fonction de la demande de l’aquarium et dans les limites de ce qu’il peut fournir.

Quand le RAH ne peut pas fournir autant que la demande, il faut passer à une méthode complémentaire ou de remplacement : Balling, RAC ou LAIT de chaux.

Ce qu’Hervé ne comprend pas c’est que le but est de ne pas dépasser l’évaporation.

 

Pour faire simple Hervé, tu peux aussi tout bonnement utiliser la solution illustrée avec l'animation 3.

 

 

Dans ce cas, le volume d'eau de chaux ajouté est toujours le même.

Et oui ! C’est le but ! Avec quand même la possibilité de faire varier ce volume plus ou moins pour répondre précisément aux besoins spécifiques du bac en calcium et alcalinité, à l’aide de la programmation du minuteur ou d’une fonction intervalle d’un ordinateur. MAIS TOUJOURS EN DESSOUS DU VOLUME DE L’EVAPORATION.

Je me suis mal fait comprendre.

L'inconvénient à mon avis du dernier schéma est que, l'injection d'eau de chaux étant commandé par le pH, il peut y avoir plus d'injection d'eau de chaux que ce qui est nécessaire pour compenser l'évaporation.

Quand on l’asservit au pH, c’est une autre façon de distribuer un volume inférieur à l’évaporation et dans la mesure des besoins du bac. La seule différence est qu’il sera injecté un volume d’eau de chaux important (mais inférieure à l’évaporation journalière) pendant la phase nocturne ce qui va noyer le flotteur. Comme montré dans l’animation 5, il faudra plusieurs heures avant que le volume baisse dans la décantation jusqu’à déclencher l’osmolateur.

Pour répondre à Greg, cela n’a aucun impact sur le bac et sa population parce que la variation de densité est extrêmement minime, contrairement à se qui se passerait à la finale si on persistait (bêtement !) à vouloir injecter plus d’eau de chaux que le volume de l’évaporation.

 

Ce que je propose est aussi simple que le dernier schéma de l'article où il y a 2 pompes, une commandée par l'osmolateur, l'autre par le pH via un "ordinateur".

Dans la solution que je propose, il y a aussi 2 pompes, toutes deux commandées par l'osmolateur, le pH décidant laquelle des 2 est activée.

Ceci peut très facilement être programmé avec un Aquatronica et probablement par un IKS, rien de plus à prévoir que sur le schéma de Chris, seul le câblage est différent.

Je ne vais pas en faire un plat, c'est juste une suggestion.

Ce que tu proposes se fait déjà automatiquement.

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il est vrai que l'injection puisse dépasser l'évaporation du bac, quels en seraient les inconvénients Christian ?

Surtout avec l'arrivage des nouveaux éclairages led ou l'évaporation est beaucoup plus faible qu avec les hqi

comme disait Coluche : "J'AI PAS DIT CA"

C'est Mer Rouge :)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour répondre à Greg, cela n’a aucun impact sur le bac et sa population parce que la variation de densité est extrêmement minime, contrairement à se qui se passerait à la finale si on persistait (bêtement !) à vouloir injecter plus d’eau de chaux que le volume de l’évaporation.

Mais t'insiste en plus :mdr4:

Laissez moi tranquille, j'ai rien dit moi !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce qu’Hervé ne comprend pas c’est que le but est de ne pas dépasser l’évaporation.

Mais si j'ai bien compris.

Pour éviter tout débordement, tu t'arranges pour que l'eau ajoutée par le RAH ne dépasse jamais l'évaporation.

C'est là que le bât blesse car si à un moment pour quelle que raison que ce soit l'évaporation augmente, tu brides l'ajout d'eau de chaux alors que tu pourrais en ajouter plus.

 

Quand le niveau est bas, on ajoute de l'eau, c'est clair et simple.

L'inconvénient avec les systèmes RAC et RAH actuels quels qu'ils soient est qu'on distribue le Ca (et le KH) un peu au pif.

J'ai entendu dire que Aquatconica est en train de développer une interface Ca; ça ne sert à rien de mesurer le Ca en permanence sauf si cette mesure sert à asservir RAH et RAC par exemple comme ceci

 

herve_20120212163909.jpg

Explication

1ère case en haut à gauche : le niveau est bas, le Ca est bas et le pH est bas => on ajoute de l'eau via le RAH; le RAC est coupé;

2è case à sa droite : le niveau est bas, le Ca est bas mais le pH est haut => on ajoute de l'eau osmosée et le RAC tourne;

et ainsi de suite ...

Question : quid s'il ne manque pas d'eau mais que pH et Ca sont trop bas ?

On ne peut pas ajouter d'eau de chaux car il y a déjà assez d'eau;

on ne peut pas faire tourner le RAC car le pH risque d'encore diminuer.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce qu’Hervé ne comprend pas c’est que le but est de ne pas dépasser l’évaporation.

Mais si j'ai bien compris.

Pour éviter tout débordement, tu t'arranges pour que l'eau ajoutée par le RAH ne dépasse jamais l'évaporation.

C'est là que le bât blesse car si à un moment pour quelle que raison que ce soit l'évaporation augmente, tu brides l'ajout d'eau de chaux alors que tu pourrais en ajouter plus.

 

Je ne veux pas en ajouter plus que ce qui est nécessaire...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Evidemment.

Prenons un exemple.

Un bac évapore en été 5 litres par jour.

Tu t'arranges pour ne jamais ajouter plus de 5 litres d'eau de chaux afin de ne jamais dépasser l'évaporation.

Cependant ton bac aurait besoin pour le KH de 6 litres d'eau de chaux par jour alors tu dois supplémenter.

 

En hiver le bac évapore 7 litres par jour.

Tu limites toujours à 5 litres l'ajout d'eau de chaux.

Tu dois donc toujours supplémenter alors que tu pourrais ajouter les 6 litres d'eau de chaux dont il a besoin.

 

C'est ce que fait mon système automatiquement.

En été il n'ajoute pas plus de 5 litres d'eau de chaux, au delà l'osmolateur bloque l'ajout d'eau.

En hiver il ajoute 6 litres d'eau de chaux et un litre d'eau osmosée.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je n'en doute pas, j'ai juste posé une question

pour éviter les inconvénients liés au fait que l'osmolation est commandée par l'osmolateur et l'injection via le RAH par une minuterie ou le pH du bac, que penses-tu de la solution qui consiste à commander l'osmolation par l'osmolateur mais injecter de l'eau osmosée ou de l'eau de chaux selon le pH du bac ?

20 message plus tard je n'y trouve toujours pas réponse.

Oubliez ma question, de toute façon ça m'est égal, je n'ai plus de RAH.

Quant à ma première question de combiner mon RAC à un RAH, pour limiter la diminution de pH, j'attendrai l'article de Chris64.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je n'en doute pas, j'ai juste posé une question

pour éviter les inconvénients liés au fait que l'osmolation est commandée par l'osmolateur et l'injection via le RAH par une minuterie ou le pH du bac, que penses-tu de la solution qui consiste à commander l'osmolation par l'osmolateur mais injecter de l'eau osmosée ou de l'eau de chaux selon le pH du bac ?

20 message plus tard je n'y trouve toujours pas réponse.

Oubliez ma question, de toute façon ça m'est égal, je n'ai plus de RAH.

Quant à ma première question de combiner mon RAC à un RAH, pour limiter la diminution de pH, j'attendrai l'article de Chris64.

Ta réponse tu l'as eu à chacun de mes messages : pour être plus clair, ce que j'en pense c'est que je trouve cela tordu.

 

Je calcule la consommation en calcium de mon bac et j’en déduis la quantité d’eau de chaux à rajouter. J'affine pour coller à la réalité du bac par la programmation de la fonction intervalle ou le seuil du pH.

 

Mais si mon bac consomme plus que ce que peut apporter le RAH, soit environ 8 mg/l de Ca et environ 1°KH par jour, j’adopte une autre façon de supplémenter ou je décide de compenser seulement une partie de la consommation par de l’eau de chaux, ne serait-ce que pour maintenir mon pH assez haut la nuit (>8), et de complémenter ce qui manque autrement.

Et je recapépéte, RAC, Balling ou, si je voulais rester fidèle uniquement à l'hydroxyde, j'injecterais du lait de chaux.

 

Pourquoi irais-je me compliquer la vie à essayer de jongler avec la quantité d'évaporation selon les saisons ?

 

Ce que je veux utiliser c'est une méthode pérenne et ne pas me créer des problèmes alléatoires supplémentaires, c'est bien assez délicat à gérer comme ça.

Des bacs consommant moins de 8mg/L de Ca par jour, il y en a plein. Et l'eau de chaux bien utilisée est un bon système assez économique et sans répercutions négatives sur l'eau.

Un bac consommant plus cela existe aussi bien-sûr et j'ai déjà dépassé allégrement 2°KH de consommation journalière et selon le volume du bac je passais au RAC ou au Balling, conservant ou pas le RAH en activité..

 

Maintenant, si tu veux essayer de mettre en pratique ton idée, n'hésite pas et tient nous au courant.

 

Mais je trouve surtout regrettable que tu pourisses ce post avec 20 messages qui ne servent qu'à montrer que tu as eu une idée, mais malheureusement basée sur une mauvaise lecture du texte.

Le topic devient illisible pour ceux qui ont des vrais questions.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Mon intention est loin de pourrir ton post Chris, d'ailleurs ces 20 messages ne sont pas tous de moi !

Au contraire j'ai lu ton article qui est très clair, je voulais simplement essayer d'aller plus loin, ouvrir le débat, sans aucune animosité, dans un but purement constructif.

Ce que je n'ai pas compris ce sont les réactions hostiles.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Mon intention est loin de pourrir ton post Chris, d'ailleurs ces 20 messages ne sont pas tous de moi !

Au contraire j'ai lu ton article qui est très clair, je voulais simplement essayer d'aller plus loin, ouvrir le débat, sans aucune animosité, dans un but purement constructif.

Ce que je n'ai pas compris ce sont les réactions hostiles.

J’ai tenté dans cet article de décrire les techniques employées depuis 40 ans pour injecter de l’eau de chaux.

Et celles que je préconise ont pour base de découpler l’osmolation d’une injection d’hydroxyde de calcium dont le volume est calculé, afin d’avoir 2 fonctions totalement indépendantes.

Que tu veuilles asservir l’osmolation au pH me plonge dans une tempête cérébrale qui me porte à l’énervement !

 

D’abord, l’évaporation et le pH n’ont aucun rapport.

Ensuite, dans les techniques illustrées par les animations 3,4 et 5 l’osmolation, asservie normalement à l’évaporation se fait automatiquement. Je ne vois pas où il y aurait un progrès à compliquer inutilement ce mode opératoire.

 

Pour t’en expliquer tu prends l’exemple d’un bac qui évapore plus selon les saisons, et d’en profiter pour injecter alors plus d’eau de chaux. Que devient alors la notion de volume contrôlé ?

Le but n’est pas d’injecter le plus d’eau de chaux que possible à la première occasion mais de trouver le volume qui convient au bac, en fonction de sa population et de son évolution dans le temps. Un bac peuplé de coraux mous et de LPS ne demandera peut-être en eau de chaux que 40 ou 50% du volume évaporé. Alors qu’avec un bac plus orienté vers les SPS il atteindra 80 à 90%. Quand les besoins de l’aquarium dépassent les 90/95 % de l’évaporation la plus faible de l’année, il faut revoir sa conception de la supplémentation.

 

Et ne pas essayer d’injecter plus à un certain moment parce qu’une évaporation anormale le permet. Quid du reste du temps ? On laisse le déficit augmenter ?

 

Cela me porte à croire que tu n’as pas compris le but des techniques que je préconise dans cet article.

Je recopie quelques phrases :

 

« …/…Il sera facile d’ajuster le volume en modifiant la durée et les heures de programmation de quelques minutes afin d’affiner ce réglage, toujours en testant les deux paramètres Ca et KH et, évidemment, sans dépasser le volume d’eau total évaporé. » …/…

 

« …/…Par les mesures du Ca et du KH on pourra affiner le réglage du seuil du pH afin d’obtenir des valeurs stables dans l’aquarium. Le seuil de déclenchement peut être ajusté finement par pas de 0.01 dans un sens ou dans l’autre (de 8.00 à 8.01 ou 7.99 par exemple), permettant de trouver le réglage le plus adapté à la consommation du bac en utilisant ainsi au mieux l’eau de chaux. Bien-sûr, 8 de pH n’est qu’un exemple et on aurait pu dire 7.95 ou 8.10, cela ne change rien au principe et c’est à l’aquariophile de déterminer le seuil adéquat. » …/…

 

« …/…Évidemment, il y a toujours l’astreinte de recharger le réacteur en temps utile, la limite de l’évaporation et celle du bac dont la consommation est supérieure à ce que peut fournir le RAH raisonnablement. Mais si on veut conserver l’usage de l’eau de chaux et profiter de ses bienfaits (empêcher la chute du pH nocturne, fournir des ions calcium et carbonates équilibrés sans chlorure de sodium et précipiter les phosphates) les méthodes du volume d’eau de chaux contrôlé ou asservi au pH offrent le plus de chances à l’aquariophile d’utiliser un RAH d’une façon optimale et d’obtenir d’excellents résultats pour un faible coût de revient. On peut utiliser ces techniques sans essayer de dépasser leurs limites, et ce qui sera amené en calcium et en alcalinité sera autant de moins à apporter éventuellement par un autre moyen. » …/…

 

« …/…Quand la quantité d’eau chaux pouvant être envoyée ne suffit plus, c'est-à-dire quand le bac a une consommation en calcium supérieure à 8 mg par litre et par jour, il faut envisager un autre moyen de supplémentation. « Balling » ou RAC sont les deux options qui viennent spontanément à l’esprit, soit en complément, soit en remplacement.

Forcer l’évaporation est plus contraignant qu’efficace. La méthode consistant à Injecter de l’acide acétique dans le RAH, décrite dans l'article "Réacteur à hydroxyde (RAH) et acide acétique" sur Récif.org, est intéressante également mais plus délicate à mettre en place et surtout à contrôler. » …/…

 

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Christian,

Une petite mise au point : je n'ai aucunement l'intention de mettre tes compétences en doute; ça fait 10 ans que je te "connais"; j'ai toujours eu la plus haute considération pour tes conseils; j'estime que c'est une chance de pouvoir discuter de notre passion avec des gens comme toi.

Même si je n'avais pas fait le lien entre ton pseudo sur un "autre forum" et celui ici herve_20120213161923.jpg:D j'ai seulement et humblement voulu poser une question à l'expert que tu es en attendant comme réponse soit "effectivement, c'est une bonne idée" ou "non ça ne va pas parce que ..."

Visiblement ma question n'était pas claire puisque tu as répondu

L’osmolation vient compenser ce que ne compense pas le RAH en volume de liquide et elle ne peut pas dépendre du pH. Du moins, voir les choses comme ceci n’est pas logique.

J'ai alors essayé d'expliciter ma question; nouvelle tentative.

 

J'ai bien compris que tu mesures la consommation du bac et ajuste les injections d'eau de chaux en conséquence.

Cependant bien que tu dises

celles que je préconise ont pour base de découpler l’osmolation d’une injection d’hydroxyde de calcium dont le volume est calculé, afin d’avoir 2 fonctions totalement indépendantes.

Que tu veuilles asservir l’osmolation au pH me plonge dans une tempête cérébrale qui me porte à l’énervement !

Il est pourtant clair dans l'animation 5 que l'osmolation est bien asservie au pH !

 

Je reformule donc ma question autrement :

  • au lieu d'injecter de l'eau osmosée en fonction du niveau ET de l'eau de chaux en fonction du pH
  • ne pourrait-on envisager d'injecter de l'eau en fonction du niveau,

    celle-ci étant de l'eau osmosée OU de l'eau de chaux en fonction du pH ?

La seule différence étant que tu ne risques pas ainsi d'ajouter plus d'eau, quelle qu'elle soit, que nécessaire.

Il n'y a pas de raison de s'énerver pour ça !

Bien à toi

RV

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il est pourtant clair dans l'animation 5 que l'osmolation est bien asservie au pH !

NON ! L’osmolation n’est pas asservie au pH !!

 

Ce que tu vois sur l’animation c’est que pendant la période nocturne, quand le pH descend en dessous de la consigne, l’eau de chaux est envoyée. Cette opération est symbolisée par le pH (de consigne) qui s’affiche en rouge, en même temps que la pompe doseuse et la pompe de brassage interne du RAH (en rouge aussi tous les deux, pour indiquer que le tout marche ensemble)

 

Comme dans cet exemple, où il est délivré les ¾ du volume de l’évaporation journalière sous la forme d’eau de chaux pendant la période d’injection (dépendante du pH du bac), le niveau d’eau augmente dans la cuve technique au dessus du flotteur, ou autre détecteur, de l’osmolateur. Et il n’y aura pas d’osmolation tant que le volume excédentaire n’aura pas été consommé par l’évaporation.

 

Ce qui va prendre un certain temps dans la journée avant que l’osmolateur ait à prendre le relais.

Période diurne qui est représentée dans l’animation par la lumière qui s’allume et le pH qui augmente normalement, comme dans tous les bacs.

Il se trouve dans l’animation 5 que quand l’osmolation prend le relais, le pH à une certaine valeur, ce qui n’est que pur hasard. Et cette valeur ON S’EN FOUT !!!

D’ailleurs, tu vois bien que le pH ne s’allume pas en rouge pour indiquer une causalité entre les deux actions comme tu le penses à tort.

J’ai remarqué que c’était une de tes spécialités : prendre une hypothèse fausse à la base et construire dessus toute une série de calculs et de tableaux chiadés. Les calculs et les tableaux sont justes, à part que la formule de base est fausse.

 

Je reformule donc ma question autrement :

Au lieu d'injecter de l'eau osmosée en fonction du niveau ET de l'eau de chaux en fonction du pH ne pourrait-on envisager d'injecter de l'eau en fonction du niveau, celle-ci étant de l'eau osmosée OU de l'eau de chaux en fonction du pH ? La seule différence étant que tu ne risques pas ainsi d'ajouter plus d'eau, quelle qu'elle soit, que nécessaire.

NON ! CA NE VA PAS PARCE QUE : Au contraire, tu bloquerais l’injection d’eau de chaux au seuil du détecteur de niveau en étant sur de ne pas envoyer ce qui est nécessaire.

C’est idiot.

Autant utiliser le RAH couplé à l’osmolation (animations 1 et 2) ce qui n’est pas ce que je conseille ou du moins, ce que j’essaye de montrer comme une mauvaise façon de se servir de l’eau de chaux.

 

Le « risque » d’envoyer plus d’eau que nécessaire pendant la période d’injection de l’eau de chaux n’est pas un risque c’est juste faire varier d’une manière imperceptible la salinité :

400L à 35g/L = 14000 g

2 L d’eau de chaux à disons 0g/L = 70g de perte.

D’une salinité de 35g tu tombes momentanément et progressivement à 34,82g

(14000 – 70 ^13930/400 = 34,825)

Ce qui ne provoque qu’une légère fluctuation de la salinité sur une période 24H = 0 impact sur les habitants du bac.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il est pourtant clair dans l'animation 5 que l'osmolation est bien asservie au pH !

NON ! L’osmolation n’est pas asservie au pH !!

 

Ce que tu vois sur l’animation c’est que pendant la période nocturne, quand le pH descend en dessous de la consigne, l’eau de chaux est envoyée. Cette opération est symbolisée par le pH (de consigne) qui s’affiche en rouge, en même temps que la pompe doseuse et la pompe de brassage interne du RAH (en rouge aussi tous les deux, pour indiquer que le tout marche ensemble)

Merci pour l'explication.

Mais avoue que ces 2 phrases sont ambigues

Quand on dispose déjà d’un tel matériel, on peut également profiter de la baisse naturelle du pH pour lui asservir l’ajout d’eau de chaux, en fixant un seuil en dessous duquel les injections seront déclenchées (Animation 5).

Si on choisit par exemple un pH de 8 : dès que le pH descend en dessous de cette valeur, l’ordinateur va déclencher la mise en route de la pompe doseuse et le brassage interne du RAH, par le biais de prises commutables, jusqu’à ce que la valeur du pH de consigne, augmentée de son hystérésis, soit atteinte dans l’aquarium.

 

Par "risque d'injecter plus d'eau que nécessaire" je voulais dire "faire déborder la cuve technique !

Bien sur tu n'envoies plus d'eau osmosée grâce au flotteur mais tu continues à envoyer de l'eau de chaux qui se fout du niveau.

 

Je voudrais revenir sur ma première question : l'inconvénient du RAC est la baisse de pH, celle de l'hydroxyde est qu'il ne suffit pas aux besoins du bac; quel est l'inconvénient d'ajouter de l'eau de chaux et de compléter avec un RAC ?

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonjour,

 

Excellent article très clair et très compréhensible pour le " commun des mortels"

 

Merci pour ce travail accomplie.

 

Je voudrais revenir sur ma première question : l'inconvénient du RAC est la baisse de pH, celle de l'hydroxyde est qu'il ne suffit pas aux besoins du bac; quel est l'inconvénient d'ajouter de l'eau de chaux et de compléter avec un RAC ?

l'inconvénient du RAC est la baisse de pH :

 

Content de l'apprendre, mais cela n'est pas du systématiquement à l'usage d'un RAC...

 

celle de l'hydroxyde est qu'il ne suffit pas aux besoins du bac :

 

J'ai connu de nombreux bac ne fonctionnant qu'avec de hydroxyde de CA pourtant magnifique...

 

quel est l'inconvénient d'ajouter de l'eau de chaux et de compléter avec un RAC :

 

A ma connaissance aucun.

 

Content d'avoir pu t'aider comme quoi les années passent et rien ne change pour certains ...

 

@++

 

 

 

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Qu'une solution à la baisse de ton PH

supprimes ton RAC !

ou règles le au poil...

 

tout en s'assurer que le "problème" ne vient pas d'ailleurs (déchêts, maintenance d'ordre général)

 

le tout pour faire une mise au point net... :D

 

et éviter le flou perpétuel et les conclusions trop faciles.

 

Tout graphique n'est qu'un constat et n'apportera jamais une solution

et moins de graphiques, c'est plus de temps devant son aqua... :sablier:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

l'inconvénient du RAC est la baisse de pH :

Content de l'apprendre, mais cela n'est pas du systématiquement à l'usage d'un RAC...

Chez moi il est évident que la mise en service du RAC début 2009 a fait diminuer le pH du bac

herve_20120214120019-thumb.jpg

celle de l'hydroxyde est qu'il ne suffit pas aux besoins du bac :

J'ai connu de nombreux bac ne fonctionnant qu'avec de hydroxyde de CA pourtant magnifique...

Mon bac de 400 litres se suffisait largement d'un RAH mais plus après transfert en 750 litres.

Un autre constat est la perpétuelle carence en Mg avec le RAH que je ne rencontre pas avec le RAC.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.


×
×
  • Créer...

Information importante

En poursuivant votre navigation, vous acceptez l’utilisation des cookies pour vous proposer des contenus adaptés à vos centres d’intérêt et réaliser des mesures pour améliorer votre expérience sur le site. Pour en savoir plus et gérer vos paramètres, cliquez ici